C’est la mode ! "Turquie" rime avec "nationalistes". C’est le cas dans les grand médias européens mais aussi et surtout chez les organes de propagande des organisations turcophobes (groupes de lobbying arméniens ultra-nationalistes, organisations proches du PKK, etc.)
On crie à la "liberté d’expression", mais les Turcs ont attendu en vain les réactions choquées des mêmes penseurs et bien-pensants lorsque des journalistes critiquant l’AKP ont été poursuivis.
Ces événements plus (…)
Les 16 et 17 juin prochain, les Egyptiens devront choisir entre Ahmed Shafiq, un membre de l’ancien régime, et Mohammad Morsi, le candidat du parti de la justice et de la liberté, bras politique des Frères musulmans, pour décider qui sera leur prochain président. Beaucoup de membres de l’élite libérale affirment ne pas vouloir voter, préférant ne pas choisir entre la peste et le choléra.
Quelques-uns, cependant, veulent donner leur chance aux Frères musulmans, et tentent de couper court à (…)
Rapprochement de la Turquie et de l’Union européenne
Cavusoglu : "La Turquie apportera toute son aide pour débarrasser l’Irak de la présence du PKK"
Le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, a assuré le gouvernement irakien du soutien total de la Turquie pour l’aider à se débarrasser de la présence de l’organisation terroriste PKK sur le sol irakien
Le chef de la diplomatie turque a reçu, mercredi à Ankara, son homologue irakien, Fouad Hussein.
Les deux hommes ont tenu une conférence de presse conjointe à l’issue de (…)
Deniz Baykal a été contraint à la démission après la diffusion sur Internet de ses frasques sexuelles.
À Istanbul
En Turquie, la révélation de frasques sexuelles de la gent politique ne produit pas le même effet qu’en Italie. Piégé par une vidéo, Deniz Baykal, le chef de file de l’opposition, a présenté sa démission lundi. Diffusé sur Internet vendredi, l’enregistrement pirate de six minutes montre un homme ressemblant au président du Parti républicain du peuple (CHP) en train de se (…)
"Si notre pays connaît la stabilité, si sa croissance progresse, nous le devons à Erdogan", justifie le ministre des Transports, qui a dévoilé l’idée mercredi.
Vrai projet ou simple flagornerie, il faudra encore attendre pour le savoir. Le ministre des Transports, Lutfi Elvan, a déclaré mercredi que le troisième aéroport géant en cours de construction à Istanbul pourrait porter le nom du Premier ministre et président élu turc Recep Tayyip Erdogan, au pouvoir depuis 2003. "Si notre pays (…)