Le PKK est une organisation terroriste typique de l’époque de la guerre froide, qui avait été fondée par Abdullah Öcalan et ses associés en 1978, avec le but la séparation des territoires Turques, Syriens, Iraniens et Irakiens afin de créer un état indépendant et unifié du Kurdistan.
Considéré comme l’une des organisations terroristes les plus meurtrière, violente et sanguinaire de l’histoire, le PKK avait été fondé sur l’idéologie Marxiste-Léniniste, et recevait de l’aide considérable de l’Union (...)
“Confédéralisme Social” Démocratique
La clé du concept idéologique d’Öcalan est le groupe des communautés du Kurdistan KCK. Néanmoins, ceci est traduit par Öcalan avec le néologisme confédéralisme démocratique sociale ou confédéralisme de la société démocratique (demokratik toplum konfederalizmi) (Accord p 4). Les termes démocratie et confédéralisme qu’utilise Öcalan doivent par conséquent être clarifié.
Rejet des États Nations
La vision idéologique ainsi que les solutions régionales sont basées dans le rejet (...)
L’équipe de Turquie-News vous propose de découvrir la traduction de l’article de Walter Posch "The new PKK". Elle vous sera proposée en plusieurs parties.
Traduit par Deniz Akgürbüz
Organisation
Les autorités Turques on en premier lieu sous-estimé l’étendue du regroupement du PKK sous l’aile du KCK. Quand ils commencèrent à comprendre la portée de l’organisation KCK en 2008/2009, ils l’interprétèrent comme une préparation pour une insurrection. Les violations des droits de l’homme et les perversions de (...)
L’accord KCK (1/2 partie)
La nouvelle organisation a été définie dans un document publié en turc en 2005, qui est devenu l’Accord KCK (KCK-Sözleşmesi, cité comme Accord). Un fichier pdf de la version complète du document - avec les préfaces et le symbole KCK sur la couverture - a été publié sur la fanpage PKK d’Azad Badiki. .
Une version sans préface a été publiée et analysée par le groupe de réflexion turc Ankara-Strateji. Une version perse et arabe ont été publiée en 2014. Les deux sont similaires au texte (...)
Contrairement à son importance pour le développement politique de la Turquie et pour la sécurité intérieure européenne, le Parti des travailleurs du Kurdistan (interdit) – le PKK - n’a que rarement été l’objet de l’intérêt académique.
En outre, la plupart des articles sont problématiques, dû au fait que leurs auteurs se positionnent soit comme adversaires, soit comme apologistes de l’organisation. Certaines exceptions importantes à noter sont les publications d’Aliza Marcus, qui a été la première à écrire (...)