La Turquie fait-elle partie de l’Europe ? Jamais de la vie, ma chère, c’est un autre continent, une autre société, une autre religion, une autre vie politique, un autre industrie, une autre littérature, une autre cuisine, … Une autre tout, et donc sûrement pas de la Turquie en Europe.
Bon. Sauf que c’est un peu compliqué depuis hier. Car, incroyable de chez incroyable, eh bien figurez vous qu’un drôle de truc est survenu, à savoir qu’un Turc a été élu président de l’Assemblée parlementaire (…)
[avec AFP] - L’Union européenne s’inquiète d’atteintes aux libertés en Turquie et, à mots couverts, des diplomates notent une radicalisation du régime islamo-conservateur du Premier ministre Recep Tayyip Erdogan. "Une série d’orientations récentes montre que la tendance conservatrice tient la corde, et n’a pas d’opposition", note Marc Pierini, ancien chef de la délégation de l’Union européenne à Ankara. Jeudi, à Istanbul, le commissaire responsable de l’élargissement de l’UE, Stefan Füle, a (…)
Méditerranée Orientale : Entretien Cavusoglu-Mogherini
Avec TRT
Le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, s’est entretenu par téléphone avec la Haute Représentante de l’Union Européenne (UE) pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, Federica Mogherini.
Selon des sources diplomatiques turques, Cavusoglu et Mogherini ont discuté, lundi, des développements en Méditerranée Orientale.
Par ailleurs, sur le même sujet, le Chef de la diplomatie turque s’est (…)
Le maire d’Ankara Melih Gokcek a fait savoir samedi qu’il s’était permis de mâcher du chewing-gum en présence de Nicolas Sarkozy lors de sa courte visite en Turquie vendredi, en réaction au "manque de respect" dont le chef de l’Etat français avait fait preuve selon lui en faisant de même.
Le maire d’Ankara Melih Gokcek a fait savoir samedi qu’il s’était permis de mâcher du chewing-gum en présence de Nicolas Sarkozy lors de sa courte visite en Turquie vendredi, en réaction au "manque de (…)
À un mois du référendum qui doit se prononcer sur la révision constitutionnelle que le gouvernement a fait adopter par l’Assemblée nationale en mai dernier, la campagne qui le précède s’enlise dans des querelles de personne et des propos manichéens, qui sont loin d’éclairer le citoyen turc sur les enjeux réels du scrutin...
La bataille pour la mairie d’Istanbul a duré 37 jours entre la coalition de l’AKP au pouvoir, et celle de l’opposition sociale démocrate du CHP, et du centre droit.
Le candidat de l’opposition Ekrem Imamoglu a été élu maire le 31 mar, avec 13 000 voix d’avance sur son rival, ancien Premier ministre Binali Yildirim. Le parti présidentiel AKP, et les nationalistes du MHP qui le soutiennent, contestaient ce peu d’écart, sur 8 millions d’électeurs.
Le Président Erdogan, ancien maire (…)