Le régulateur bancaire turc a infligé des amendes aux banques totalisant 330 millions de lires (48 millions de dollars) depuis le début de COVID-19 pour avoir utilisé des calculs de taux d’intérêt interdits et refusé de restructurer les dettes.
Les sanctions financières ont été infligées en quatre vagues depuis la mi-mai et ont touché plus de 20 banques et institutions financières, a annoncé lundi le quotidien Daily Sabah .
Suite aux plaintes des clients, il a découvert que certaines (…)
La banque espagnole BBVA, qui détient 49,85 % de la principale banque turque cotée en bourse BBVA Garanti, a proposé d’acheter les actions restantes de la société cotées à la Bourse d’Istanbul.
BBVA achètera l’action à 12,2 lires pièce, a- t- elle déclaré dans un communiqué publié par la bourse lundi. Les actions ont bondi de 9,9% à 11,6 lires, atteignant leur limite de négociation supérieure pour la session.
La participation de 50,15% vaut 2,25 milliards d’euros (2,6 milliards de (…)
La baisse de la lire a coïncidé avec des changements à la Banque centrale de Turquie, des tensions politiques et une controverse juridique impliquant un gangster.
La monnaie turque est tombée à un niveau record vendredi au milieu d’une controverse politique et de nouveaux changements à la Banque centrale.
La devise turque est tombée à 8,61 lires pour un dollar américain à un moment donné vendredi - le plus bas en 10 ans , selon le site Web de données sur les devises XE, qui a légèrement (…)
Le président Erdogan limoge le gouverneur de la Banque centrale
Avec RFI
Par un décret présidentiel publié samedi 6 juillet, Murat Cetinkaya a été remplacé par son adjoint. Le décret ne précise pas la raison de cette mesure, mais la presse économique cite des désaccords entre l’ancien gouverneur et le président Erdogan sur la question des taux d’intérêt. Cette annonce porte un coup à l’indépendance de l’institution.
Dans sa première déclaration juste après sa nomination, Murat Uysal, (…)
L’agence de notation Fitch a annoncé vendredi avoir abaissé la note de la Turquie, à B+, et l’a assortie d’une perspective négative, notant que « les vulnérabilités en termes d’inflation élevée, de faible liquidité extérieure et de faible crédibilité politique » ont augmenté.
« Les notations de la Turquie reflètent une faible crédibilité et prévisibilité des politiques, une inflation élevée, une faible liquidité externe par rapport à des besoins de financement élevés et à la dollarisation, (…)
Le nombre de nouveaux employés du secteur public sera limité pendant trois ans et seuls les projets d’investissement essentiels de l’État seront développés.
Quelques mois après les élections locales turques, le vice-président Cevdet Yilmaz et le ministre des Finances Mehmet Simsek ont dévoilé un plan d’austérité très attendu dans un contexte de taux d’inflation élevés.
Afin de freiner l’inflation et d’attirer les investissements étrangers, la Turquie doit maintenir sa réforme fiscale (…)