« The Club », un nouveau drame de Netflix, traite de l’héritage de la communauté juive sépharade de Turquie à Istanbul et cherche à mettre l’accent sur le « vivre ensemble avec les différences » au sein du tissu multiculturel de la métropole.
Sorti plus tôt ce mois-ci, le drame Netflix se déroule dans l’Istanbul des années 1950. L’intrigue tourne autour d’une femme juive, Matilda Aseo, qui est libérée de prison dans le cadre d’une grâce générale et ne fait aucun effort pour retrouver sa fille Rasel, née en (...)
Après être devenu un phénomène social dans son pays, Fatmagul a rayonné dans le monde entier. Cette jeune femme, victime d’un viol en groupe, a d’abord bouleversé la Turquie, avant de faire vibrer les audiences en Europe, mais aussi en Amérique latine. Kerim, Selim, Rahmi, Mukaddes ou encore Mustafa sont les protagonistes de cette série dont les paysages Izmir, Ankara et Istanbul font voyager le public. Les 25-34 ans, cible stratégique, sont accros à cette telenovela. Diffusé en Turquie dès 2010, le (...)
Almanya, de Yasemin Samdereli, raconte les tribulations de trois générations de Turcs émigrés en Allemagne. Deux sœurs allemandes d’origine turque, Yasemin et Nesrin Samdereli, se sont alliées pour concocter une comédie optimiste sur l’intégration, Almanya , qui a remporté un joli succès public l’an dernier outre-Rhin. « Depuis quelques années, plusieurs films dramatiques ont dépeint la vie des Turcs en Allemagne, explique Yasemin Samdereli, qui assure la mise en scène. Ma sœur et moi avons coécrit le (...)
Depuis deux mois, les plateformes de vidéo en streaming, jusque-là épargnées par la censure qui touche l’ensemble des médias, sont sous l’étroite surveillance du gendarme de l’audiovisuel turc. Netflix, implanté depuis deux ans dans le pays, tout comme les acteurs nationaux, devra désormais composer avec les décisions du tout-puissant Conseil supérieur de la Radio et de la Télévision. Ce qui ne semble en rien freiner le géant américain qui s’apprête à diffuser sa première série turque.
En Turquie, (...)
La cérémonie de clôture du 33ème festival de films d’Istanbul qui s’est tenue le samedi 19 avril a récompensé deux films français : L’image manquante du réalisateur franco-cambodgien Rithy Panh a reçu le prix du meilleur film dans la sélection Droits de l’Homme au Cinéma, dont le jury était présidé par le réalisateur Atiq Rahimi. Rithy Panh, en tournage au Cambodge, a adressé un message de remerciement lu par l’attachée audiovisuelle de l’Ambassade, soulignant son émotion d’être récompensé dans la catégorie « (...)
Sept petits jours pour découvrir le cinéma d’un grand pays. Jusqu’au 16 mars, la Filmothèque du Quartier latin (5e) accueille la 7e Semaine du cinéma turc de Paris*, organisée par l’Assemblée citoye...
Sept petits jours pour découvrir le cinéma d’un grand pays. Jusqu’au 16 mars, la Filmothèque du Quartier latin (5e) accueille la 7e Semaine du cinéma turc de Paris*, organisée par l’Assemblée citoyenne des originaires de Turquie. Une dizaine de films et documentaires sont au programme, ainsi que quelques (...)