Nous publions ci-dessous la réponse que Monsieur Maxime Gauin a faite à Monsieur Daniel Clairvaux suite à son article défendant la qualification de « génocide » pour le cas arménien. « Ce qui, probablement, fausse tout dans la vie, c’est qu’on est convaincu de dire la vérité parce qu’on dit ce qu’on pense. » Sacha Guitry.
Au lieu de poursuivre l’évolution amorcée suite au droit de réponse que vous a envoyé Turquie news, vous êtes revenu à des positions dogmatiques autant qu’étrangères à (...)
Le terrorisme a fait souffrir très longtemps. Certains ont perdu la vie, certains leur domicile. Mais, les blessures sont rapidement guéries de nos jours. L’Etat continue à accueillir à bras ouverts les victimes retournant à leur domicile. Les pertes des milliers de personnes sont compensées.
Une commission évalue les demandes et détermine le montant de l’aide suivant ses analyses.
Les demandes de 6 500 personnes sur les 10 000 ayant demandé d’être indemnisées à Muş, ont été acceptées. (...)
François Georgeon, Abdülhamid II : le sultan calife (1876-1909), Paris, Fayard, 2003, p. 291-295 :
"Le lundi 30 septembre 1895, le parti Hintchak organise à Istanbul une manifestation pour tenter d’arracher au sultan les réformes tant annoncées. Vers midi, plusieurs centaines de manifestants se rassemblent à Kumkapı devant le patriarcat arménien. Leur objectif est de se rendre à la Sublime Porte et de remettre au gouvernement une pétition dans laquelle ils dénoncent les mauvais (...)
Suite à un récent article du Nouvel Observateur, intitulé « La seconde mort d’Atatürk », Turquie News invite ses lecteurs à découvrir le courrier de protestation émis par l’Association Confluence France-Turquie (CFT).
Nous encourageons nos lecteurs à envoyer eux aussi des courriels polis dans la forme et sans concession sur le fond.
Nous voyons ici toute l’ambiguïté de la politique occidentale qui, déjà à cette époque, consiste à instrumentaliser les droits de l’homme à des fins économiques et politiques.
Trois femmes membres du PKK ont été retrouvées mortes dans la nuit de mercredi à jeudi à Paris.
Trois femmes membres du PKK ont été retrouvées mortes dans la nuit de mercredi à jeudi, tuées d’une balle dans la tête, dans les locaux d’une association réunissant des membres du PKK au centre de Paris.
Selon les autorités, les femmes sont Fidan Dogan, Leyla Soylemez et Sakine Cansiz, l’une des fondatrices du PKK. Deux des femmes auraient été tuées d’une balle dans la nuque, la troisième (...)