La loi du 29 janvier 2001 reconnaissant le "génocide arménien" et plus encore l’adoption par l’Assemblée nationale le 12 octobre 2006 de la proposition de la loi tendant à pénaliser la négation du "génocide arménien" ont été à l’origine des premiers remous sérieux dans les relations franco-turques alors que la France entretient depuis 1484 avec l’Empire ottoman puis la Turquie, l’une de ses plus longues relations diplomatiques.
Le second épisode de tension a été la position du candidat à (…)
