Une révolution vient de se produire chez les Turcs de France. Les trois plus grandes fédérations associatives – DITIB, Milli Gorüs, Fédération turque de France – viennent de créer un organe commun et informel, le Comité de coordination des associations franco-turques de France, avec le soutien des organisations alévis auxquelles se sont ajouté les différentes associations kémalistes. Du jamais vu dans le microcosme turc lorsqu’on connaît les grandes divergences qui peuvent séparer ces (…)
Bosphore est le Partenariat Hubert Curien (PHC) franco-turc. Il est mis en œuvre en Turquie par le Conseil de recherche scientifique et technique (TUBITAK) et en France par les ministères des Affaires étrangères et européennes (MAEE) et de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (MESR).
Types de projets concernés
L’objectif de ce programme est de développer les échanges scientifiques et technologiques d’excellence entre les laboratoires de recherche des deux pays, en favorisant les (…)
Chaque année, le lycée Fulgence-Bienvenüe, de Loudéac (22), accueille la première épreuve écrite du baccalauréat : celle des langues rares.
Hier après-midi, quarante élèves de terminale, venus de toute la Bretagne, ont ainsi planché, pendant deux heures, sur la langue de leur choix : turc, roumain, finnois, suédois, persan, norvégien, coréen ou encore cambodgien...
Raziyé Aqsoy est sortie de cette première épreuve avec un large sourire. Hier, cette lycéenne avait choisi de présenter le (…)
"Enregistrement des Génocides"
À l’approche de chaque élection et à chaque fois que la Turquie devient
"le diable en personne" selon certains pays, les demandes de reconnaissance de génocide augmentent.
Certains, comme par exemple Valérie Boyer députée de Marseille, récupèrent les "informations" sur Wikipedia pour en faire une proposition de loi de "reconnaissance d’un génocide" ou une loi de pénalisation de la négation d’un génocide, sans même les vérifier ou en changer un seul mot. (…)
Nous publions la version française de la tribune publiée par Maxime Gauin, chercheur à l’International Strategic Research Organization (USAK-ISRO, Ankara), dans le « Journal of Turkish Weekly », le 8 avril. Une fois de plus, des nationalistes arméniens tentent de faire discuter puis voter, par le Sénat, la proposition de loi qui interdirait de remettre en cause et de « nier » la qualification de « génocide arménien ». La Fédération révolutionnaire arménienne (FRA-Dachnak) a même assuré dans (…)
Le dialogue turco-arménien en France, entre disette et espoir.
On pensait le dialogue turco-arménien écorché par la haine des extrémistes arméniens. Souvenez-vous de ces images terribles, en 2009, juste après la signature des protocoles turco-arméniens, où le président d’Arménie, Serge Sarkissian, en visite en France, était traité de « traître » par les extrémistes venus cracher leur haine atavique du Turc et leur refus catégorique de paix avec la Turquie.
Or, depuis, il y a eu quelques (…)