Le chef de l’opposition, M. Deniz Baykal a déclaré jeudi que l’opération Ergenekon menée par le pouvoir était "destiné à intimider le peuple".
"C’est une opération fascisante destinée à intimider le peuple et à terrasser toute tentative de résistance ou d’opposition contre le pouvoir" a déclaré le président du CHP, (parti Républicain du Peuple, principal parti de l’opposition), Deniz Baykal, dans la région égéenne du pays.
"Ils [les dirigeants AKP], visent à inspirer la peur, à (…)
Les concertations internes concernant le nouveau président du parti pour la Justice et le Développement [AK Parti] commencent lundi et se poursuivront durant deux jours.
Le vice-président de l’AK Parti, Mustafa Atas, s’est exprimé au micro de l’Agence Anadolu sur les préparatifs du 2ème congrès extraordinaire de son mouvement.
Le président actuel de l’AK Parti, Ahmet Davutoglu, avait annoncé sa décision de procéder à un congrès extraordinaire, le 5 mai dernier. Il avait affirmé qu’il ne (…)
[AFP] L’explosion d’une bombe jeudi près d’un bus de la police dans le centre-ville d’Istanbul a fait 16 blessés dont 15 policiers, ont affirmé les autorités turques qui n’ont pas évoqué des pistes concernant les auteurs de l’attentat.
« Il ressort qu’il s’agissait d’une bombe contrôlée à distance qui a explosé au passage d’un véhicule de service transportant 21 agents », a déclaré le chef de la police d’Istanbul, Hüseyin Capkin, cité par Anatolie.
Le gouverneur d’Istanbul Hüseyin Avni (…)
(image : logo de l’AKP)
Des dirigeants du parti au pouvoir de la Justice et du Développement, (AKP), ont vivement réagi mercredi à un communiqué publié par des magistrats, sommant le pouvoir AKP de cesser toute ingérance dans le fonctionnement de la justice.
"Le communiqué est politique" a accusé le vice-Premier ministre, ministre de l’Etat et porte-parole du gouvernement AKP, M. Cemil Çiçek.
"La Cour de cassation ne posséde pas le privilège de publier des communiqués", s’est-il (…)
Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan s’est défendu mardi de toute volonté de museler la presse, alors que plusieurs journalistes ont été inculpés et certains incarcérés dans le cadre d’un complot présumé contre le régime, provoquant des réactions en Turquie et à l’étranger.
"Je considère comme une insulte à mon gouvernement les accusations selon lesquelles nous tenterions de bâillonner la presse", a-t-il affirmé devant le groupe parlementaire de son Parti de la justice et du (…)
Le Parlement turc a engagé hier l’examen d’un projet de loi très controversé du gouvernement islamo-conservateur, baptisé « réforme de la sécurité intérieure », qui va muscler les pouvoirs des forces de l’ordre.
Quelques heures avant leur coup d’envoi, le président Recep Tayyip Erdogan a mis la pression sur les députés et a surtout justifié les dispositions les plus contestées de son texte.
Entre autres mesures emblématiques, et critiquées, le texte doit permettre aux forces de sécurité (…)