L’execution, à Paris, de trois activistes kurdes proches du PKK a ravivé les amitiés au sein de l’internationale turcophobe.
Après un appel à manifester tonitruant aux côtés du PKK samedi dernier, la FRA Nor Seround, branche jeunesse du parti extrémiste arménien FRA Dachnaktsoutioun remet le couvert de la haine anti-turque aujourd’hui en manifestant une nouvelle fois au côtés des sympathisants du PKK.
On ne doutera pas qu’une partie des manifestants sont sincères dans leur démarche et (…)
En visite au Sénégal, le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a mis en garde contre toute spéculation.
Le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan a dénoncé jeudi l’exécution déplorable de trois femmes kurdes à Paris, retrouvées mortes dans la nuit tuées d’une balle dans la tête.
« Il nous faut être patient et attendre que les autorités fassent la lumière sur cet incident. Il pourrait s’agir d’un règlement de compte interne (au sein du PKK) ou d’une provocation pour tenter de (…)
Une enquête a été ouverte après le décès par balles de trois militantes kurdes ce jeudi.
Les corps de trois femmes tuées par balles ont été découverts dans les locaux du centre d’information du Kurdistan, au 147 rue la Fayette, à Paris, dans la nuit de mercredi à jeudi.
L’autopsie de leur corps a permis de déterminer que l’une des trois femmes avait reçu quatre balles dans la tête. Les deux autres ont été tuées de trois balles dans la tête.
Les corps des trois femmes seront enterrés en (…)
[LeParisien et l’AFP] - Deux proches des trois militantes kurdes assassinée à Paris le 9 janvier ont été arrêtés jeudi en milieu de journée et placés en garde à vue, d’après des sources judiciaire et policières, confirmant une information de BFMTV.
Ces deux hommes kurdes, nés en Turquie et âgés de 39 ans et 31 ans, appartiennent à l’environnement très proche des trois femmes exécutées, a précisé une source policière, évoquant une « piste sérieuse ». L’un des gardés à vue aurait été le (…)
Un proche des trois militantes kurdes tuées à Paris au début du mois a été mis en examen et placé en détention provisoire.
Un homme, proche des trois militantes kurdes assassinées le 9 janvier à Paris, a été mis en examen lundi pour assassinat en lien avec une entreprise terroriste.
Le parquet a requis son placement en détention provisoire, a annoncé le procureur de la République, François Molins. « L’individu est susceptible d’être le ou l’un des auteurs des faits », a-t-il précisé. (…)
Le suspect arrêté dans le cadre de l’enquête sur l’exécution de 3 militantes du PKK à Paris est Ömer Güney, né à Şarkışla (province de Sivas), a déclaré le procureur de la République lors d’une conférence de presse à Paris.
L’homme a été mis en examen dans l’affaire du triple meurtre commis dans la nuit du 9 au 10 janvier contre des activistes kurdes du PKK ("Parti des travailleurs du Kurdistan", terroriste, interdit en France), a annoncé le procureur. Exécutées de plusieurs balles dans la (…)