D’après Human Rights Watch, les autorités arméniennes n’ont pas encore enquêté sur les fraudes signalées au cours des élections présidentielles de 2008, et sur la répression policière qui s’en est suivi.
Mercredi 30 avril, la cour d’appel de Versailles a annulé la relaxe prononcée en première instance (au bénéfice du doute) contre deux Arméniens d’Alfortville, poursuivis pour une trentaine d’appels injurieux et menaçants (menace de mort incluse) à l’encontre d’Emine Çetin, l’une des organisatrices de la manifestation franco-turque du 21 janvier 2012. Les menaces et injures proférées avaient pour but d’empêcher Mme Çetin de mener à bien l’organisation de cette manifestation — dûment autorisée (…)
"Nous demandons aux sénateurs français d’avoir confiance dans la liberté d’expression, cette valeur de la Révolution française."
Comme annoncé dans un précédent article, la proposition de loi visant à interdire la « contestation de l’existence du génocide arménien » a échoué au Sénat français. Et en fait, il n’a même pas été nécessaire d’attendre que la conférence des présidents se prononce : la commission des lois a rendu un rapport sur le fond, contre la proposition ; l’irrecevabilité a été votée à l’unanimité. Il se confirme ainsi qu’aucun des groupes du Sénat — pas même le groupe socialiste — ne soutient cette (…)
Les débats concernant le bulletin d’informations en turc diffusé 10 minutes tous les jours de la semaine par la chaîne étatique bulgare BNT.
Volen Siderov, leader du parti Ataka (parti politique nationaliste bulgare) connu pour ses opinions racistes et ultranationalistes, a soutenu que le bulletin d’information en turc allait totalement être supprimé de la chaîne.
Affirmant que le bulletin d’information en turc lui causait des insomnies depuis 10 ans, Siderov a dit :
"Qu’il y ait ou (…)
Après avoir été interdit puis réintégré en Turquie, Twitter s’est vu accusé d’évasion fiscale par le chef du gouvernement. Des responsables de Twitter se sont déplacés en Turquie pour discuter avec les responsables. Après deux jours de discussions, Twitter a refusé les demandes du gouvernement. Le réseau social n’ouvrira pas de bureau en Turquie et réfute toute évasion fiscale.
Accusé de diffuser des éléments compromettants à l’encontre du chef du gouvernement turc, Recep Tayyip Erdogan, (…)