ATATÜRK par Ayten AKGÜRBÜZ

Allégation Armèniennes et faits historiques

QUESTIONS ET REPONSES


Histoire

Les Turcs ont-ils voulu et entrepris un massacre systématique des arméniens en 1915 ?

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Les Turcs ont-ils voulu et entrepris un massacre systématique des arméniens en 1915 ?

L’entrée des Ottomans dans la Première Guerre mondiale le , aux côtés des Allemands et des Austro-hongrois contre les nations de l’Entente, fut considérée par les Arméniens comme l’occasion tant attendue. Louise Nalbandian écrit que "les comités révolutionnaires arméniens estimaient que le moment le plus opportun pour déclencher le soulèvement général et atteindre leurs objectifs était le moment où l’État ottoman serait engagé dans la guerre" [1] et par conséquent, serait moins en mesure de résister à une agression intérieure.

Avant le début de la guerre, dès , les dirigeants ottomans rencontrèrent les Dachnaks à Erzurum dans l’espoir d’obtenir leur appui à l’effort national en cas de conflit. Les Dachnaks leur promirent que dans une telle situation, ils accompliraient loyalement leur devoir dans l’armée ottomane. Cependant, ils honorèrent d’autant moins cette promesse, qu’avant cette réunion un Congrès Dachnak tenu en secret à Erzurum en , avait déjà pris la décision de passer au soulèvement général en faveur de la guerre prochaine. [2] Les Arméniens russes, enrôlés dans les armées du tsar, se préparèrent à une attaque contre les Ottomans dès le début du conflit. Le Catholicos d’Etchmiadzine assura le gouverneur général russe du Caucase, Vranzof Dachkof, que "si les Russes forçaient les Ottomans à accorder des réformes aux Arméniens, en retour, tous les Arméniens russes appuieraient sans restrictions l’effort de guerre de la nation russe.". [3] A la suite de quoi, le Catholicos fut reçu à Tiflis par le tsar, rencontre où il fut dit que "la libération des Arméniens d’Anatolie amènerait la fondation d’une Arménie autonome, sans aucun lien de vassalité avec la Turquie, et dont l’existence serait garantie par la protection de la Russie.". [4] Naturellement, les Russes envisageaient en fait l’annexion de l’Anatolie orientale, mais se gardèrent bien d’en souffler un mot au Catholicos.

Dès que la Russie eut déclaré la guerre à l’Etat Ottoman, la société Dachnak déclara par la voie de son organe officiel Horizon :

"Les Arméniens se sont placés aux côtés des Etats de l’Entente sans la moindre hésitation. Ils ont placé toutes leurs forces à la disposition de la Russie et ils forment actuellement des bataillons de volontaires." [5]

Le comité Dachnak fit également passer l’ordre suivant à toutes ses cellules qui se tenaient prêtes à la révolte dans l’Empire ottoman :
"Dès que les Russes auront franchi la frontière et que les armées ottomanes auront entamé la retraite, vous devrez vous soulever partout. Ainsi, les armées ottomanes seront-elles prises entre deux feux. Si, par contre, elles avancent sur l’armée russe, les soldats arméniens devront déserter en emmenant leurs armes, se regrouper en unités irrégulières et se joindre aux Russes." [6]

Quant au comité Hintchak, il donna les instructions suivantes à ses membres vivant en territoire ottoman :
"Le comité Hintchak aidera les Etats de l’Entente par tous les moyens. En qualité d’allié, et plus particulièrement de la Russie, il consacrera toutes ses forces à la lutte pour la victoire en Arménie, Cilicie, Azerbaïdjan et au Caucase." [7]

Même le député arménien de Van au Parlement ottoman, Papazian, se révéla bientôt être un des chefs de la résistance contre les Ottomans et publia une proclamation selon laquelle :
"Les régiments de volontaires arméniens au Caucase devront se tenir prêts au combat, servir d’unités d’avant-garde aux armées russes afin de les aider à saisir les positions clés dans les régions où vivent les Arméniens, et au fur et à mesure de leur progression en Anatolie, se joindre aux unités arméniennes locales." [8]

Lorsque les troupes russes entrèrent sur le territoire ottoman et avancèrent en Anatolie orientale, elles furent guidées par des unités composées de volontaires arméniens d’origine russe ou ottomane, auxquelles se joignirent les déserteurs arméniens de l’armée turque. Plusieurs de ces derniers préférèrent se regrouper en unités de guérilla, utilisant les armes et les munitions qui, pendant des années, étaient restées cachées dans les écoles et les églises des missions, pour effectuer des coups de main sur les dépôts d’approvisionnement turcs, augmentant ainsi leurs propres stocks d’armes et en privant les armées ottomanes qui faisaient mouvement sur l’invasion massive des Russes. Dans les quelques mois qui suivirent le début de la guerre, ces unités travaillant en coordination étroite avec les Russes, menèrent des attaques sauvages contre la ville et les villages de l’est, massacrant sans pitié leurs habitants, et se livrèrent à des actes de sabotage afin d’affaiblir la capacité de combat des Turcs et faciliter l’avance russe, détruisant routes et ponts, pillant les caravanes, etc. Les atrocités commises par les volontaires arméniens furent si graves que le commandement russe lui-même se sentit contraint de les retirer du front et de les affecter à des missions de surveillance à l’arrière-garde.

Nombreux sont les officiers russes ayant servi dans l’est à cette époque qui ont laissé des mémoires relatant abondamment les atrocités révoltantes commises par ces unités qui se conduisaient de façon extrêmement barbare, même, si on tient compte des normes relativement primitives qui régissaient la guerre dans ces régions. [9]

Les Turcs et les autres musulmans ne furent pas les seules victimes de ces atrocités. Les rebelles arméniens n’avaient guère apprécié l’attitude des Grecs et des Juifs, peu enclins à appuyer leurs programmes révolutionnaires. Aussi massacrèrent-ils des milliers de Grecs à Trabzon et dans les environs tandis que dans la région d’Hakkari ce furent les Juifs qu’ils rassemblèrent et liquidèrent. [10] Le but de ces atrocités était simple : ne laisser que des Arméniens dans les territoires qu’ils revendiquaient pour leur nouvel Etat. Tous les autres furent donc massacrés, ou ne durent la vie qu’à la fuite, pour laisser une population arménienne majoritaire en prévision des discussions de paix.

Les premières unités arméniennes à traverser la frontière en compagnie des envahisseurs russes étaient commandées par l’ex-député d’Erzurum au Parlement ottoman, Karékine Pasdermadjian, qui avait adopté le nom de guerre Armen Garo. Un autre exparlementaire ottoman, Hamparsoum Boyadjian, surnommé "Mourad", était à la tête des unités de guérilla qui mirent à sac les villages turcs, ordonnant expressément "de tuer aussi les enfants turcs, car ils représentent un danger pour la nation arménienne". Un autre ex-député, Papazian, dirigea les troupes de rebelles qui ravagèrent les régions de Van, Bitlis et Mus.

En , les forces russes firent mouvement sur Van. Immédiatement, le , les Arméniens de Van se soulevèrent et massacrèrent tous les Turcs de la région pour en faciliter la conquête par les Russes. II n’est donc pas étonnant de voir le tsar Nicolas II envoyer un télégramme de remerciements au comité révolutionnaire arménien de Van, le , lui exprimant "sa gratitude pour les services rendus à la Russie." Le Journal arménien Gotchnak, publié aux États-Unis annonça également avec fierté le "II ne reste plus que 1500 Turcs à Van", le reste ayant été exterminé.

Le représentant Dachnak déclara au Congrès national arménien, tenu à Tiflis en , que "la Russie avait fourni 242.000 roubles avant même le début de la guerre pour armer et entraîner les Arméniens ottomans à la rébellion", ce qui montre bien que l’alliance russo-arménienne avait préparé de longues mains l’action visant à miner les efforts de guerre ottomans. [11] Dans ces circonstances, où les Russes avançaient dans l’est sur un large front, où les rebelles arméniens répandaient la mort et la destruction tout en attaquant les arrières des troupes ottomanes et la population civile sans défense, où les Alliés envahissaient aussi l’Empire sur un front qui s’étendait de l’Irak à la Galatie, la décision ottomane de déporter les Arméniens des zones de combat ne fut qu’une mesure d’autodéfense parfaitement raisonnable et entièrement légitime.

Même après la révolte et les massacres de Van, le gouvernement ottoman fit une dernière tentative pour rallier les Arméniens à la mobilisation générale des forces de la nation. Il convoqua à cet effet le Patriarche, des députés arméniens et d’autres délégués à une réunion et les avertit que des mesures sévères seraient prises si les Arméniens continuaient à massacrer les musulmans et à saboter les actions du gouvernement. Quand il devint évident que les attaques arméniennes n’avaient pas diminué, le gouvernement décida finalement d’agir. Le , les comités révolutionnaires arméniens furent interdits et 235 de leurs dirigeants furent arrêtés pour menées dirigées contre l’Etat. C’est la date de ces arrestations qui, ces dernières années, a fait l’objet, de la part des groupes nationalistes arméniens dispersés à travers le monde, de cérémonies commémoratives du "massacre" qui eut lieu alors si on devait les en croire. Mais, en fait, il n’y eut pas de massacre, ni à cette date, ni à toute autre date pendant la guerre.

En dépit des graves dangers auxquels l’Empire devait faire face, on veilla très soigneusement à ce que les Arméniens fussent traités avec attention et avec humanité lors de leur déplacement, généralement vers la Syrie et la Palestine quand ils venaient d’Anatolie du Sud, vers l’Irak quand ils étaient du Nord. Le Conseil des ministres ottoman décida en particulier :

"Quand ces résidents arméniens des villes et villages susmentionnés qui doivent être déportés seront déplacés vers leurs nouveaux lieux de résidence et plus particulièrement en route, on veillera à leur bien-être, à la protection de leur vie et de leurs biens ; il faudra prévoir, après leur arrivée, la prise en charge de leur nourriture par le Fonds pour les réfugiés jusqu’à leur installation définitive dans leurs nouveaux logements. On prévoira également la distribution de terrains et de biens en fonction de leur situation financière précédente et des besoins usuels ; pour ceux d’entre eux auxquels une aide supplémentaire serait nécessaire, le gouvernement envisagera de bâtir des maisons, de fournir aux cultivateurs et aux artisans des semences, des outils et du matériel." [12]

II spécifia par ailleurs :

"Ce décret vise spécifiquement à empêcher l’extension des comités révolutionnaires arméniens. Vous l’exécuterez donc de telle sorte qu’il ne puisse donner lieu à des massacres mutuels de musulmans et d’Arméniens."
"Vous prendrez toutes dispositions pour que des fonctionnaires spécialement désignés accompagnent les groupes d’Arméniens lors du déplacement, et vous vous assurerez qu’ils reçoivent de la nourriture et tout ce dont ils auront besoin ; les frais afférents seront imputés au budget prévu pour les émigrants." [13]
"La nourriture nécessaire aux émigrants pendant le voyage sera fournie jusqu ’au lieu de destination ... pour les individus les plus pauvres grâce aux crédits prévus pour l’installation des émigrés. Les campements destinés aux personnes déplacées feront l’objet d’une surveillance régulière ; il conviendra de veiller aux conditions de bien-être et de prendre les mesures nécessaires pour assurer l’ordre et la sécurité. Vous vous assurerez que les émigrants indigents reçoivent des rations alimentaires suffisantes et que leur santé soit contrôlée quotidiennement par un docteur ... Les malades, les pauvres, les femmes et les enfants utiliseront les transports ferroviaires, quant aux autres, ils voyageront à dos de mule, en charrette ou à pied selon leur endurance. Chaque convoi sera accompagné par un détachement de gardes, et les réserves de nourriture de chaque convoi seront placées sous surveillance jusqu’à l’arrivée à destination. Au cas où les émigrants seraient attaqués, soit au campement soit pendant le trajet, on devra mettre immédiatement en oeuvre tous les moyens pour repousser toutes ces attaques... " [14]

Sur les quelques 700.000 Arméniens qui furent déplacés ainsi jusqu’au début de , il y en eût certes qui perdirent leur vie. L’intensité des opérations militaires et des activités de guérilla qui régnait alors dans les régions traversées en fut partiellement cause ; y contribuèrent également les règlements de compte que certaines tribus cherchèrent à exercer au passage des convois sur leurs territoires ainsi que l’insécurité générale. De plus, le déplacement des Arméniens survint à une époque où l’Empire souffrait à la fois de la famine et de nombreuses épidémies tout en endurant des pénuries sévères en carburant, nourriture, médicaments ou autres produits de première nécessité. Il ne faudrait pas oublier qu’à la même époque, une armée ottomane entière de 90.000 hommes fût anéantie dans l’Est en raisons de ces mêmes pénuries, ni que pendant les dernières années de la guerre, 3 à 4 millions de sujets ottomans de toutes religions moururent victimes de ces mêmes conditions que devaient subir les populations déportées. Comme tous les sujets ottomans, les Arméniens ont sans doute souffert pendant la guerre, mais il est tragique de voir avec quelle insensibilité les nationalistes arméniens veulent en attribuer la responsabilité à d’autres causes que les conditions anarchiques dont étaient victimes alors tous les sujets du sultan.

Telle est donc la réalité derrière les assertions mensongères qui déforment la vérité historique en utilisant des formules malveillantes comme "le premier génocide du XXe siècle", formules auxquelles les propagandistes arméniens et les groupes terroristes essayent de rendre une vie nouvelle afin de justifier ces mêmes tactiques, cette même terreur qui, au siècle dernier, a plongé l’Empire ottoman dans une horreur sans nom.

Apres la première Guerre Mondiale, les allégations arméniennes ont fait l’objet des investigations menées de 1919 à 1922 comme partie du processus légal contre les officiels ottomans. Le traité de Paix de Sèvres, imposé à la suite de la défaite ottomane exigeait du gouvernement ottoman de livrer aux Puissances Alliées ceux qui étaient accusés de « massacres ». Par la suite, 144 hauts fonctionnaires ottomans furent arrêtés et déportés par la Grande – Bretagne en vue du jugement à Malte. Les renseignements qui ont conduit aux arrestations étaient fournis principalement par les Arméniens autochtones et le patriarche arménien. Pendant que les déportés étaient internés à Malte, les forces d’occupation britannique présentes à İstanbul et disposant d’un pouvoir et d’une autorité absolue dans la capitale ottomane ont cherché avec frénésie partout les preuves afin d’incriminer les déportés.
Le spécialiste arménien Haig Kahzarlan, avait été désigné par les Britanniques à conduire l’examen des preuves documentaires dans les archives Ottomanes et Britanniques. Kahzarlan n’a pu trouver aucune preuve susceptible de démontrer que le gouvernement ottoman et les hauts fonctionnaires déportés à Malte ont sanctionné ou encouragé les massacres des Arméniens.

Sur ce fait, le British Foreign Office (Ministère des relations extérieures) a eu la tendance à penser que le Gouvernement Américain serait d’une manière certaine, en possession d’une grande partie des preuves documentaires établies au moment des « massacres ». En effet, si les massacres faisant l’objet des allégations avait eu lieu en 1915-1917 les Américains auraient du être en possession d’une masse de matériaux, car, à cette période, les fonctionnaires diplomatiques et consulaires Américains accomplissaient librement leurs missions en Turquie. En outre, « American Near East Relief Society », omniprésente institution des missionnaires était autorisée par le gouvernement ottoman à accomplir ses missions d’aide en Anatolie pendant les déportations. Donc, ils auraient du témoigner des crimes et accumuler un certain nombre de preuves contre les officiels ottomans.

Ainsi, en désespoir de cause, le British Foreign Office s’est tourné vers les archives Américaines à Washington. Le , Lord Curzon a envoyé le télégramme suivant à Sir A. Geddes, ambassadeur de l’Angleterre en poste à Washington :

Nombre de Turcs arrêtés pour prétendue complicité dans les massacres Arméniens, se trouvent à Malte, entre les mains du Gouvernement de Sa Majesté. Il y a des difficultés considérables quant à l’établissement des preuves relatives au crime. Veuillez bien vérifier si les Etats-Unis sont en possession d’une preuve quelconque qui pourrait être valable dans le but des poursuites

Le , L’ambassadeur britannique en poste à Washington a donné la réponse suivante :

J’ai l’honneur de vous informer que l’un des membres de mon équipe a rendu visite au …… Département d’Etat …. Il a obtenu l’autorisation pour voir une sélection de rapports en provenance des consuls des Etats-Unis au sujet des atrocités…Je tiens à vous informer que rien n’est découvert qui puisse être utilisé comme preuve contre les turcs.

Au terme de l’investigation, aucune preuve n’a pu être trouvée pour corroborer les allégations arméniennes. Au terme d’une détention de 2 ans et quatre mois, les déportés ottomans furent mis en liberté, sans ouverture de procès et il n’y a eu aucune compensation pour les détenus.


[1NALBANDIAN, Louise ; op. cit., p.lll.

[2Aspirations et Agissements Révolutionnaires des Comités Arméniens avant et après la Proclamation de la Constitution Ottomane, Istanbul, 1917, pp. 144 -146.

[3TCHALKOUCHIAN, Gr. ; Le Livre Rouge, Paris, 1919, p. 12.

[4TCHALKOUCHIAN, Gr. ; op. cit.

[5URAS, Esat ; op. cit., p. 594.

[6HOCAOGLU, Mehmet ; Tarihte Ermeni Mezalimi ve Ermeniler, İstanbul, 1976, pp. 570 - 571.

[7Aspirations et Agissements Révolutionnaires des Comités Arméniens, pp. 151-153.

[8URAS, Esat ; op. cit., pp. 596 - 600.

[9Voir "Journal de Guerre du Deuxième Régiment d’Artillerie de Forteresse Russe d’Erzéroum, 1919 ".

[10SCHEMSI, Kara ; op. cit., p. 41 et p. 49.

[11URAS, Esat ; op. cit., p. 604.

[12Décrets du Conseil des Ministres. Archives de la Présidence du Conseil, Istanbul. Comptes-rendus du Conseil des Ministres, Vol. 198, décret 1331/163, mai 1915.

[13Archives du Foreign Office, Archives nationales, Londres, 371 /9158/ E5523.

[14Archives du Foreign Office, Archives nationales, Londres, 371/9158/E 5523.

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