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Le Hezbollah sur la liste européenne des organisations terroristes. À quand l’interdiction de la FRA-Dachnak, son allié ?

Publié le | par Maxime Gauin | Nombre de visite 1605
Le Hezbollah sur la liste européenne des organisations terroristes. À quand l'interdiction de la FRA-Dachnak, son allié ?

(Photo : Le Hezbollah nous salue bien)

Le 22 juillet, l’Union européenne est parvenue à un accord pour inscrire « l’aile militaire » du Hezbollah (le « Parti de Dieu ») sur sa liste d’organisations terroristes. Des arguments tels que les attentats commis en Bulgarie et à Chypre ont fini par l’emporter — au bout de trente ans — sur le souci de protéger les casques bleus européens présents au Liban ou l’espoir d’une médiation européenne dans ce pays. Coïncidence de la chronologie, c’était aussi à la fin de juillet, le 27 pour être exact, qu’a eu lieu le trentième anniversaire de l’attentat-suicide de l’Armée révolutionnaire arménienne (ARA) contre l’ambassade turque de Lisbonne, qui a coûté la vie aux cinq terroristes, à un des deux policiers portugais qui protégeaient l’ambassade, et à l’épouse du chef de mission adjoint, qui assurait l’intérim de l’ambassadeur, mais se trouvait ailleurs dans Lisbonne au moment de l’assaut. Or, l’ARA (appelée Commandos des justiciers du génocide arménien jusqu’en 1983) était la branche terroriste de la Fédération révolutionnaire arménienne (FRA-Dachnak, nationale-socialiste), branche créée par le congrès de décembre 1972, active à partir de 1975 (assassinat des ambassadeurs turcs à Vienne et Paris en octobre) et jusque vers 1986-1987 [1]. Or, ce parti politique, créé en 1890 (et qui avait inscrit en toutes lettres le terrorisme parmi ses moyens, dans son premier programme, et n’a pas manqué de le pratiquer) [2] est l’allié indéfectible du Hezbollah (il existe une importante communauté arménienne au Liban, notamment à Beyrouth), sur le modèle de l’alliance entre le régime bananier d’Erevan et les mollahs iraniens. Pour la FRA, « le panturquisme et le sionisme d’idéologie raciste constituent les deux faces d’une même médaille, celle de l’impérialisme [3]. » Mais si le Hezbollah doit recourir à des trafics divers et des méthodes de blanchiment extrêmement sophistiquées, la FRA-Dachnak, par ses diverses émanations (comme, en France, les Maisons de la culture arménienne), reçoit de plantureuses subventions publiques : pas de crise économique et financière pour ces gens-là. Il est vrai que l’Observatoire géopolitique des drogues a pu écrire en 1995, sans être attaqué en diffamation, que la FRA-Dachnak se livrait au trafic de drogue dans la Caucase [4] ; mais ce qui est frappant, c’est la différence de traitement.

En effet, loin de regretter quoi que ce soit, la FRA-Dachnak a fait de l’attentat-suicide du 27 juillet 1983 un véritable point de fixation. Certes, ce n’est pas le seul attentat dont elle soit ouvertement fière, comme en témoigne le soutien à son terroriste Hampig Sassounian, ou, jusqu’à leur libération, après vingt-cinq ans de réclusion criminelle, aux « Trois d’Ottawa » (condamnés à perpétuité par la justice canadienne pour l’attaque de l’ambassade turque, le 12 mars 1985, qui a coûté la vie à un agent de sécurité canadien, Claude Brunelle ; l’ambassadeur lui-même a dû sauter par la fenêtre pour ne pas être assassiné). Mais les « Cinq de Lisbonne » font l’objet d’un culte particulier, un culte au plein sens du mot, puisque des cérémonies religieuses ont lieu en leur honneur, à l’appel et avec la participation de la FRA en tant que telle.

Voici par exemple l’affiche pour la messe dite à Paris :

Cette affiche nous indique aussi que l’appel est lancé par la « section Armen Garo de Paris ». Armen Garo était le surnom de Garéguine Pasdermadjian (1873-1923), chef du commando terroriste qui a commis la première prise d’otages de l’époque contemporaine, à la Banque ottomane. L’attaque fut accompagnée puis suivie par des jets de bombes et des tirs sur les Turcs, très clairement de provoquer des représailles sur la population civile arménienne, et une intervention des grandes puissances, principalement la Russie ou le Royaume-Uni. C’était en 1896. L’intervention n’eut pas lieu, mais les terroristes purent quitter İstanbul sains et saufs [5]. Amnistié par la révolution jeune-turque, Pasdermadjian fut député au Parlement ottoman de 1908 à 1912. Trahissant une deuxième fois l’Empire ottoman, il partit pour le Caucase russe dès l’été 1914, pour coordonner le recrutement des volontaires arméniens dans l’armée russe. Selon Rafael de Nogales, militaire vénézuélien engagé dans l’armée ottomane, dès la fin de 1914, les hommes de Pasdermadjian « commencèrent à incendier des villages et à frapper sans merci de leurs couteaux tous les paisibles musulmans qui leur passaient sous la main [6]. » Ils « éventraient les femmes enceintes pour en tirer le fœtus, violaient celles qui étaient belles et tuèrent les autres après d’effroyables tortures », sous la direction de Pasdermadjian en personne [7]. Une section qui porte le nom d’un terroriste devenu criminel de guerre appelle à prier pour cinq terroristes kamikazes : au moins, c’est cohérent ; mais ce n’est pas en accord avec les valeurs de la République française.

Au Liban et aux États-Unis, nous dit le très nationaliste, et très philoterroriste, site armenews.com, il y eut des manifestations pour commémorer ce crime, et dire combien il fut admirable. Il y eut au moins une cérémonie (messe, puis hommage laïque) en Australie, par l’Armenian Youth Federation, c’est-à-dire le mouvement de jeunesse de la FRA, et le Centre culturel arménien, très probablement une émanation de la FRA, à l’instar des Maisons de la culture arménienne en France :

Monument aux Azerbaïdjanais morts pendant l'occupation par l'armée soviétique.
Monument aux Azerbaïdjanais morts pendant l’occupation par l’armée soviétique.

Le ton des commémorations nous est donné par un éditorial d’Asbarez, journal édité par la FRA-Dachnak en Californie :

« Il y a trente ans de cela, en ce jour fatidique de juillet 1983 (le 27), cinq jeunes arméniens firent avancer la cause arménienne. Grâce à leur sacrifice ultime, toute la nation arménienne fut enhardie, mais aussi, et c’est plus importantes, la demande pour la justice à propos du génocide arménien atteignit de nouveaux sommets. Vatche Daghlian. Sarkis Aprahamian. Ara Kerdjelian. Setrak Adjemian. Simon Yahneian. En l’espace d’une seconde, ces cinq noms se gravèrent dans notre psyché, dans notre conscience nationale, et ils devinrent des symboles de la lutte de libération nationale. À l’époque, la communauté internationale faisait la sourde oreille à la cause arménienne. Beaucoup avaient besoin qu’on leur rappelle les atrocités du génocide arménien et pour beaucoup [d’autres], elles n’avaient pas d’importance. Les grandes puissances mondiales courtisaient la Turquie. Il fallait s’en occuper différemment — davantage par la force.
[…]
Alors que nous nous souvenons de nos héros et de réfléchir sur leur acte altruiste, nous devons, trente ans plus tard, évaluer leur héritage et rajuster nos efforts dans la poursuite continue de la Cause arménienne.
Le dévouement et le sacrifice de la stratégie des Cinq de Lisbonne se traduirent cinq ans plus tard, sur les champs de bataille de l’Artsakh lorsque des Arméniens ont, une fois de plus, pris les armes pour défendre la patrie contre l’ennemi assoiffé de sang.
La discussion puis la reconnaissance par certains pays du génocide arménien peut également être considérée comme la conséquence directe des actes héroïques de ceux qui ont fait des sacrifices afin que nos aspirations nationales pussent avancer [allusion à la guerre d’agression de l’Arménie contre l’Azerbaïdjan] [8]. »

Oui, tel est le ton depuis trente ans [9]. Une petite recherche sur Twitter montre que ces appels ne restent pas sans écho [10]. D’ailleurs, le lien entre « reconnaissance du génocide » et terrorisme est parfaitement justifié. Rappelons encore une fois que le Conseil de coordination des associations arméniennes de France (CCAF) est coprésidé par un ancien porte-parole de l’Armée secrète arménienne pour la libération de l’Arménie (ASALA), Jean-Marc « Ara » Toranian et par un admirateur virulent des CJGA/ARA, Mourad Franck Papazian. Aux États-Unis, l’Armenian National Committee of America (ANCA, autre émanation de la FRA-Dachnak) a eu comme président (1991-1999) Mourad Topalian, condamné en 2001 à trente-sept mois de prison ferme pour détention illégale d’explosifs et d’armes de guerre, au bénéfice des CJGA/ARA. La « reconnaissance » fut, dans deux cas au moins, une récompense directe accordée au terrorisme. En effet, en janvier 2001, la loi inconstitutionnelle [11] de « reconnaissance » était définitivement adoptée en France ; trois mois plus tard, Waroujan Garbidjian, condamné à perpétuité pour l’abominable attentat d’Orly, bénéficiait d’une libération conditionnelle, après une durée d’incarcération exceptionnellement courte pour un acte terroriste (moins de dix-huit ans). Au Canada, la « reconnaissance » fut votée en 2004. Les « trois d’Ottawa », évoqués plus haut, condamnés à perpétuité avec une peine de sûreté de vingt-cinq ans, furent libérés en 2010 après avoir à peine purgé cette période minimale de détention (alors qu’un seul avait présenté des remords). Inversement, aux États-Unis, où l’État fédéral refuse de reprendre à son compte la qualification de « génocide », l’assassin Hampig Sassounian est resté jusqu’à présent derrière les barreaux, depuis 1982.

Toutefois, ce qui est encore plus inquiétant, c’est cette persistance à donner une signification toute particulière à l’attentat-suicide de Lisbonne, le seul attentat de ce type perpétré par les CJGA/ARA. Ceux qui pratiquent et glorifient ce terrorisme autodestructeur, qui enseignent que le martyre, avec une ceinture d’explosifs, est l’acte le plus héroïque qui soit, sont inaccessibles à la rationalité et moins vulnérables à la lutte antiterroriste, telle qu’elle a pu se pratiquer avec succès contre l’ETA basque, par exemple :

« Quelle différence entre les commandos suicides du Djihad islamique, du Hamas et celui de la FRA ? Dans leur profession de foi, les cinq terroristes ne se différencient en rien de la détermination des kamikazes palestiniens. »

La France a malheureusement connu un exemple concret de cette dangerosité, dans l’enceinte de son Assemblée nationale, lorsque des membres de la FRA ont sauvagement agressé une Française d’origine azerbaïdjanaise et un Azerbaïdjanais résidant en France. Cette agression raciste, en plein cœur d’une institution démocratique, était périlleuse pour les agresseurs, à cause des suites judiciaires, inévitables ; mais ils n’ont pas pu se retenir, car ils échappent aux catégories de la rationalité.

Le gouvernement français considère la branche militaire du Hezbollah comme terroriste (trente ans après le massacre de nos soldats sur ordre de ceux qui allaient fonder le Hezbollah peu après). Alors, pourquoi ne pas interdire la FRA, qui a fait assassiner, sur notre sol, l’ambassadeur turc auprès du gouvernement français, İsmail Erez, et son chauffeur, puis l’attaché pour le tourisme de cette même ambassade de Turquie, Yılmaz Çolpan [12] ? Mieux (ou pire) : en 1976, une explosion accidentelle eut lieu au quartier général de la FRA en France, rue Bleue, parce qu’un terroriste des CJGA s’était trompé dans le maniement de sa bombe [13].

Le gouvernement Ayrault a dissous l’Œuvre française, petit mouvement d’extrême droite créé en 1968, parce qu’il diffuse une idéologie raciste et nostalgique de Vichy, de la collaboration. Que dire alors de la FRA, qui considère comme des héros ses dirigeants qui, après avoir été des criminels de guerre en 1918-1920, furent des nazis, c’est-à-dire Drastamat Kanayan, alias Dro (commandant du 812e bataillon arménien de le Wermacht de 1941 à 1944), et Garéguine Nejdeh ? Que dire d’un parti dont l’une des principales figures en Europe dans les années 2000, Laurent Leylekian, a non seulement été condamné pour diffamation par la 17e chambre du tribunal de grande instance de Paris, mais a tenu des propos tels que ceux-ci :

« Alors oui, les “maudits Turcs” restent coupables ; ils restent tous coupables quelle que soient leur bonne volonté, leurs intentions ou leurs actions. Tous, de l’enfant qui vient de naître au vieillard qui va mourir, l’islamiste comme le kémaliste, celui de Sivas comme celui de Konya, le croyant comme l’athée, le membre d’Ergenekon comme Orhan Kemal Cengiz qui est “défenseur des droits de l’homme, avocat et écrivain” et qui travaille pour “le Projet kurde des droits de l’homme”. Aussi irrémédiablement coupables que Caïn, coupables devant les Arméniens, devant eux-mêmes, devant le tribunal de l’Histoire et devant toute l’Humanité. » (article paru en octobre 2009 sur un site fermé en février 2011).

Sans doute sans le savoir, M. Leylekian reprenait une comparaison faite, contre les Juifs cette fois (« ce peuple marqué du signe de Caïn »), par Julius Streicher, propagandiste nazi condamné à mort par le tribunal de Nuremberg [14].

Toutes les raisons sont ainsi réunies pour considérer qu’un parti comme la FRA-Dachnak n’a rien à faire sur le sol français.

Lire également :
 I) Origines et développement du terrorisme arménien : années 1960-années 1980 - (Arménie/Turquie)
 II) Le terrorisme et le réveil identitaire arménien
 Nationalisme arménien, racisme et national-socialisme
 Le terrorisme arménien : l’émergence d’une violence politique


[1Francis P. Hyland, Armenian Terrorism. The Past, the Present, the Prospects, Boulder, Westview Press, 1991, pp. 61-76, 223 et passim ; Gaïdz Minassian, Guerre et terrorisme arméniens. 1972-1998, Paris, Presses universitaires de France, 2002, pp. 28-37, 44-45, 61, 69-92 et 106-109 ; Bilâl N. Şimşir, Şehit Diplomatlarımız (1973-1994), Ankara-İstanbul, Bilgi yayinevi, 2000, tome II, pp. 501-743 et 781-815 (pp. 715-743 sur l’attentat-suicide de Lisbonne).

[2Gaïdz Minassian, Guerre et terrorisme…, p. 1 ; Kapriel Serope Papazian, Patriotism Perverted, Boston, Baikar Press, 1934, pp. 13-24 et 60-70 ; Bilâl Şimşir, Şehit Diplomatlarımız…, tome I, pp. 34-73.

[3Communiqué de juin 1997, cité dans Gaïdz Minassian, Guerre et terrorisme…, p. 251.

[4Gaïdz Minassian, Guerre et terrorisme…, p. 194.

[5Télégrammes et rapports de l’ambassade britannique, 26, 27, 29 et 30 août, 2 et 3 septembre, 27 octobre 1896, Muammer Demirel (éd.), British Documents on Armenians. 1896-1918, Ankara, Yeni Türkiye, 2002, pp. 191-195, 197-208, 214-222 et 254 ; Kâmuran Gürün, Le Dossier arménien , Paris, Triangle, 1984, pp. 196-199 ; William L. Langer, The Diplomacy of Imperialism, New York, Alfred A. Knopf, 1960, pp. 322-325 ; Stanford J. Shaw, The Jews of the Ottoman Empire and the Turkish Republic, New York-Londres, New York University Press, 1992, p. 210.

[6Rafael de Nogales, Four Years Beneath the Crescent, New York-Londres, Charles Schribner’s, 1926, p. 45.

[7Déposition sous serment de Hassib (Erzurum), traduite dans Kara Schemsi, Turcs et Arméniens devant l’histoire, Genève, Imprimerie nationale, 1919, p. 51. Voir aussi Michael A. Reynolds, Shattering Empires. The Clash and Collapse of the Ottoman and Russian Empires, 1908-1918, New York-Cambridge, Cambridge University Press, 2011, pp. 156-158.

[9« Mourir pour la liberté », [Haïastan, septembre 1983, p. 4 ; « 10 ans de lutte armée — Meeting de la F.R.A. Nor Seround à Paris, Lyon et Marseille », [Haïastan, décembre 1985, pp. 12-13 ; « Armenians Warn of More anti-Turk Terrorism », [The Montreal Gazette, 25 avril 1986, p. B1 ; Aram Khaligian, « The Necessities of Violence and National Culture in the Liberation Struggle », [The Armenian Weekly, 31 décembre 1986, p. 15 ; http://www.fra-france.com/index.php?page=article&id=318 - http://www.fra-france.com/index.php?page=article&id=246

[11Pour une démonstration détaillée : Georges Vedel, « Les questions de constitutionalité posées par la loi du 29 janvier 2001 », dans Didier Mauss et Jeanette Bougrab (dir.), François Luchaire, un républicain au service de la République, Paris, Publications de la Sorbonne, 2005, pp. 37-61.

[12Michael M. Gunter, «  Pursuing the Just Cause of their People ». A Study of Contemporary Armenian Terrorism, Westport-New York-Londres, Greenwood Press, 1986, p. 68.

[13Yves Ternon, La Cause arménienne, Paris, Le Seuil, 1983, p. 221.

[14Discours du 22 juin 1935, cité dans Raul Hilberg, La Destruction des Juifs d’Europe, Paris, Gallimard, 2006, tome I, p. 48.

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