Décryptage
Les filiations de Taner Akçam
Info Turquie News - www.turquie-news.com - Nous vous proposons de redécouvrir la traduction d’un article qui éclaire grandement sur le profil de Taner Akçam. Véritable "historien mercenaire", Taner Akçam est présenté par les fanatiques arméniens comme « un courageux démocrate turc qui a ouvertement reconnu le génocide arménien ». Bien évidemment, préciser que Taner Akçam est un membre salarié de l’influente fondation arménienne Zoryan ou qu’il fut une figure marquante de l’ultragauche armée en Turquie n’est pas, à leur goût, politiquement correct.
Selon Abdullah Öcalan (chef du PKK), proche de Taner Akçam de longues années, ce dernier serait « un renégat aux mains pleines de sang ». Öcalan va même plus loin. Il le présente comme un personnage trouble et sans scrupule, qui aurait « un pied à Erevan, et l’autre en Amérique », avant de conclure, pour solde de tout compte : « cet homme est dangereux ».
On comprend mieux pourquoi les nationalistes arméniens préfèrent garder le silence sur cet homme obscur d’origine arménienne…
Contrairement à son arrière-petit-fils Taner, leader communiste des années 70, l’Arménien Agop ne croit ni au marxisme ni au communisme...
Info Turquie News - www.turquie-news.com - Nous vous proposons de découvrir la traduction d’un article qui éclaire grandement sur le profil de Taner Akçam. Véritable "historien mercenaire", Taner Akçam est présenté par les fanatiques arméniens comme « un courageux démocrate turc qui a ouvertement reconnu le génocide arménien ». Bien évidemment, préciser que Taner Akçam est un membre salarié de l’influente fondation arménienne Zoryan ou qu’il fut une figure marquante de l’ultragauche armée en Turquie n’est pas, à leur goût, politiquement correct.
Selon Abdullah Öcalan (chef du PKK), proche de Taner Akçam de longues années, ce dernier serait « un renégat aux mains pleines de sang ». Öcalan va même plus loin. Il le présente comme un personnage trouble et sans scrupule, qui aurait « un pied à Erevan, et l’autre en Amérique », avant de conclure, pour solde de tout compte : « cet homme est dangereux ».
On comprend mieux pourquoi les nationalistes arméniens préfèrent garder le silence sur cet homme obscur d’origine arménienne…
LES FILIATIONS DE TANER AKÇAM
par Attala AKIN
Savez-vous pourquoi les activistes arméniens qui sont toujours enclins à attribuer une ascendance arménienne aux personnalités turques, dissimulent les origines arméniennes de Taner Akçam ?
L’Arménien Agop est un riche propriétaire terrien qui habite le village de Valei dans la région d’Ahalkeleki située à la frontière entre la Géorgie et l’Arménie. Contrairement à son arrière-petit-fils Taner -leader communiste des années 70-, Agop, proche des Mencheviks, ne croit ni au marxisme ni au communisme.
Agop, qui prendra le prénom musulman de Hasan pour fuir les persécutions Bolcheviques, périra lors de pillages et exactions commis par ces derniers. Son fils Eyüp, qui avait également pris un prénom musulman, trouve refuge avec sa femme d’origine géorgienne et ses enfants à Ardahan (en Turquie) en se mêlant aux Turcs fuyant devant l’armée bolchevique.
Eyüp, surnommé le "Fou", choisit alors de servir de guide aux activistes des comités Dachnak et contribue ainsi aux massacres de milliers de Turcs et de Kurdes.
En 1928, n’ayant plus le soutien des irrédentistes arméniens, qui avaient fui après la proclamation de la nouvelle République turque, il sera exécuté pour traîtrise et participation aux massacres commis contre les Turcs par les armées étrangères.
Le petit-fils, Taner Akçam, est né en 1953 dans le village d’Ölçek en Turquie. Son père Dursun Akçam -fils de Eyüp-, né en 1927, migre avec sa famille à Ankara. Taner grandit dans le quartier de Demirlibahçe, où son père enseigne le turc au collège. Durant ces années, Dursun Akçam se lie d’amitié avec Fakir Baykurt, instituteur à l’école de Şafaktepe. Effacé et sans caractère durant l’enfance et l’adolescence à Demirlibahçe, Taner devient le souffre-douleur de ses camarades qui le prennent souvent pour cible de leurs railleries. Plus tard, lors de ses études à l’université ODTÜ (Université technique du Moyen-Orient) d’Ankara, il adhère à l’association ODTÜ-DER où il se prétendra "anti-nationaliste et démocrate", tout en dissimulant ses origines ethniques qu’il considère être un handicap.
De plus en plus actif au sein de mouvements révolutionnaires communistes comme ADYÖD, DEV-GENÇ ou encore DEV-YOL [1], il se fait le chantre de l’anti-nationalisme turc auprès des jeunes générations. Taner Akçam, qui a su séduire et tromper nombre de jeunes au sein du mouvement DEV-GENÇ, ne manque pas une occasion pour faire l’apologie de la "Fierté de NE PAS ÊTRE TURC". En mars 1976, lorsqu’il devient l’un des cadres dirigeants du mouvement armé d’extrême gauche DEV-YOL, il est arrêté et condamné à 9 ans de prison pour conflit ouvert avec la Nation et l’Etat turcs.
Néanmoins, avec l’aide de complices, il réussit à s’évader le 12 mars 1977 et demande l’asile politique en RFA (République Fédérale d’Allemagne) avec un faux passeport. Arrêté pour entrée illégale sur le territoire allemand, il est hébergé durant trois mois par les services secrets (Bundesnachrichtendienst, BND) de ce pays. Ici, Taner Akçam, le révolutionnaire, est formé aux dogmes des membres de la BND "experts" de la Turquie et des droits des minorités, ce qui ouvre la voie à sa carrière.
Après quelques mois passés en Allemagne, il obtient le statut de réfugié politique, puis la citoyenneté allemande [2] en s’inscrivant dans une école de langue dans le land de Rhénanie-du-Nord - Westphalie. En décembre 1977, il est nommé à l’université Libre de Berlin comme assistant de Tessa Hofmann [3], un des experts connus pour l’analyse des conflits des minorités en Turquie et dans le Caucase et qui a publié une thèse sur les politiques expansionnistes allemandes dans la région du Caucase et particulièrement en Géorgie, pays familier à Taner Akçam puisque ses ancêtres arméniens en étaient originaires...
L’assistant Akçam, assimilant avec ardeur l’endoctrinement allemand, reçoit en 1986 une bourse de recherche de l’Institut des Etudes Sociales de Hambourg. En même temps, le célèbre professeur Fischer, agent de la BND et qui travaillait sur des sujets comme ceux du Pont-Euxin, le Lazistan et Çamlıhemsin (ndlr : sur la côte méridionale de la mer Noire en Turquie), s’attelait à pervertir des travailleurs clandestins turcs, originaires de l’Est de la Mer Noire, afin d’espionner pour le compte de la BND en leur promettant des "visas de travailleur" en RFA. A cette période, Akçam, en collaboration avec Fischer, a contribué à l’agitation de cette région de la Turquie en faisant effectuer des activités d’espionnage à des Turcs contre leur propre pays.
En 1998, Akçam fut pris de panique, lorsque Fisher fut arrêté en possession de documents secrets dans le Nord-est de la Turquie. En représailles, il propose à la BND d’établir une liste d’académiciens d’origine turque résidant en Allemagne afin de les arrêter, ce que la BND accepte. En parallèle, les services secrets allemands commandent à Taner Akçam, contre rémunération sous le manteau, des "études" sur « la violence dans l’histoire turque », « la torture dans la culture turque » et le « génocide arménien ». C’est Tessa Hofmann, membre également de la BND et une équipe de l’Institut de Hambourg qui étaient en charge d’établir les sujets de recherche.
Grace à sa thèse sur « la torture dans la culture turque », Taner Akçam fera ainsi ses armes et prouvera ses capacités académiques et sa fidélité à la ligne allemande. Cela lui vaudra de devenir prestement salarié de l’Institut des Etudes Sociales de Hambourg.
Avec l’appui et les manœuvres de la BND, Akçam obtient aisément, et comme par miracle, le titre de Docteur à cet Institut pour son étude : « Le problème arménien, les procès d’Istanbul et les mouvements nationaux turcs ».
En 2001, pendant qu’il prépare sa thèse de maître de conférences sur le sujet de « La Turquie et la question d’Orient » avec une bourse accordée par la soi-disant "Fondation de Hambourg" qui encourage la Science et la Culture, il acquiert une grande estime auprès des organisations nationalistes de la diaspora arménienne et des services secrets allemands, en affirmant avec verve et de façon péremptoire : « je prouverai que la Turquie est un Etat sans peuple ».
Ce qu’il y a, également, d’intéressant et d’étonnant dans cette affaire, c’est la personnalité et les activités de Tessa Hofmann, professeur à l’université Libre de Berlin et agent de la BND. Véritable maître à penser d’Akçam ; elle a, d’une part, diffusé les erreurs connues que contenaient les recherches de Taner Akçam et d’autre part, parrainé ce dernier avec le soutien des services secrets allemands. Tessa Hofmann est membre d’honneur de l’Union des écrivains arméniens et, comme le pasteur Lepsius, elle affirme que le massacre des Arméniens serait le premier génocide systématique du XXe siècle [4]. Elle prétend également que ce « génocide » aurait servi d’exemple pour le génocide des Juifs par les Nazis, ajoutant à ce réquisitoire que les chambres à gaz auraient été créées, également pour la première fois, par les Turcs. L’origine de ces thèses farfelues est à chercher dans la profonde volonté allemande de se défaire du sentiment de culpabilité et faire diversion sur la question du génocide des Juifs, en braquant les projecteurs de l’opprobre sur les Turcs. Cette volonté est exprimée, de manière explicite ou implicite, par différents moyens. Ainsi, dans sa volonté de rétablir sa dignité, l’Allemagne prend pour cible les Turcs et la Turquie.
Selon les termes de Hofmann, les Unionistes formaient un groupe raciste et enragé (dans son livre intitulé Les droits de l’homme et le problème arménien, Taner Akçam aborde ostensiblement et de manière partisane, les sujets relatifs au parti Union et Progrès et le Turquisme (pages 96 à 209)). Mustafa Kemal y est présenté comme "l’assassin de plus de deux millions d’Arméniens et de Grecs" ; quant aux activistes arméniens, ils ne sont ni plus ni moins que "des chefs de famille qui combattaient avec le courage du désespoir". Toujours selon Hofmann, les villes de Van, Erzurum, Bitlis, Trabzon, les régions du Karabakh et du Nakhchivan, feraient partie de la patrie arménienne. Dans les jours suivant la publication du livre obscur de Hofmann, la région du Karabakh était envahie par les troupes arméniennes. Par ailleurs, après avoir défini les Musulmans parlant le turc comme des Tatars, elle affirme que ces derniers ont attaqué la minorité arménienne du Caucase, tuant et pillant ceux qui y vivaient. Abordant les massacres de Şuşa, Agdam et Fizuli commis par les Arméniens, elle les justifie, déclarant : « les guerres ont leurs propres logiques sanglantes ». C’est là, l’application du principe selon lequel la meilleure défense est l’attaque, il était donc d’importance stratégique de s’emparer de Şuşa, qui était, selon elle, naguère, une terre arménienne.
Dans les livres d’Akçam, hormis les références systématiques à Hofmann, le pasteur allemand Lepsius fait également partie des sources incontournables. Les livres de ce pasteur, d’Andonian [5] ou d’Hovanissian, exclusivement pro-arméniens, diffamant sans aucune modération les Turcs et leurs gouvernants, sont le produit de la rancune et de la haine, ils présentent même des charges calomnieuses inédites jusqu’à aujourd’hui. Ainsi, dans son livre Les droits de l’homme et le problème arménien (pages 228 - 247), il écrit qu’un plan d’extermination des Arméniens était décidé le 2 août 1914, soit un jour après la signature de l’alliance avec l’Allemagne, mis en application par l’Organisation spéciale la Teskilat-ı Mahsusa de Esref Kuşcubaşı, bien entendu sans jamais mentionner les unités de destruction russes et arméniennes en Anatolie. Le livre prétend également (pages 248 et suivantes) que les Arméniens incorporés dans les régiments d’ouvriers étaient exterminés. Sans qu’il n’y ait de preuves matérielles, Talât Pacha est présenté (page 286) avec certitude comme l’architecte du « génocide ». Il avance également (page 316) que des documents importants auraient été détruits et que le public serait désinformé à ce sujet.
Aussi, Taner Akçam peut légitimement être considéré comme le gratte-papier des calomnies et des mensonges des thèses arméniennes. Il fait mine, par exemple, d’ignorer que les déplacements forcés étaient des mesures de défense passive, dès lors, il les qualifie de "massacres". C’est, tout simplement, la mission dont il a été chargé. S’il refusait de l’accomplir, il pourrait perdre tout soutien des organisations arméniennes.
En outre, il affirme (page 544) qu’Atatürk lui-même admettait les termes « génocide arménien », sans fournir une quelconque référence, ni se reporter au rapport établi par le Haut Commissaire Américain Mark Bristol. Selon Taner Akçam, Mustafa Kemal adopte une attitude particulièrement sensible et critique lors des discussions avec les représentants des pays occidentaux, concernant les massacres entre 1915-17. Ainsi, il aurait admis au Général Harbord la mort de 800 000 Arméniens.
Ainsi, il est évident que le parcours, les relations, le style et les points de vue de Taner Akçam, sont le Cheval de Troie choisi par les nationalistes arméniens dans la guerre qu’ils mènent coûte que coûte contre les Turcs. L’auteur porte certes un nom turc, mais ne se considère pas, lui-même, comme Turc.
Taner Akçam est donc le fruit d’une triple filiation :
– sa filiation turque est affirmée mais instrumentalisée,
– sa filiation arménienne est généalogique mais dissimulée,
– sa filiation identitaire est idéologique mais politisée.
Néanmoins, l’Histoire répond, le 1er mars 1921, par la voix de Mustafa Kemal aux allégations d’Akçam et ses acolytes concernant les Turcs :
« Messieurs, je tiens à vous rappeler qu’afin de briser notre détermination et notre foi, alors que les événements tristes à l’intérieur du pays continuaient, à l’extérieur, nos ennemis ne cessaient un instant leurs pressions et leurs terribles provocations. A l’Ouest les Grecs, au Sud les Français qui armaient et poussaient les Arméniens contre nous, à l’Est dans les régions occupées, les Arméniens d’Arménie massacraient et commettaient des exactions contre la population musulmane... Le plus grand malheur que nous a infligé l’année qui vient de s’écouler est le Traité de Sèvres. Messieurs, malgré les efforts de nos ennemis depuis un an, aujourd’hui les décrets du Traité de Sèvres n’ont plus cours ni dans les faits, ni légalement.
Messieurs, parmi les pays vaincus en 1918 seule la Turquie a pu parvenir à ce but, grâce à la force de ses armées et sa vision politique. Nos ennemis continuent, dans les régions qu’ils occupent, à tuer, à oppresser, à piller et à déporter nos citoyens privés de tout moyen de protection ; malgré ces injustices les non-Musulmans qui sont à l’intérieur des territoires sous l’autorité du Gouvernement de la Grande Assemblée turque vivent sans crainte et en sécurité sous la protection de nos lois et de nos forces.
Quoique disent les propagandes françaises, américaines, arméniennes, grecques, allemandes ou du reste du monde occidental, les jeunes générations turques n’oublieront jamais ni ces vérités historiques, ni la trahison de ceux qui, financés et nourris par les forces impérialistes étrangères, à l’instar des intégristes musulmans, sont devenus ennemis des Turcs, ceux-là se noieront dans vos mépris. »
Vous pouvez retrouver le texte original en cliquant ici [Turc].
Traduction exclusive pour Turquie News par Julie-Deniz Ercan en collaboration avec Ilker et Hakan ©
Lire également :
– « Cause arménienne » et terrorisme
– HEREROS : Le premier génocide du 20ème siècle
[1] Le Dev Genç/Dev Yol/Dev Sol/DHKP-C est une fabrication des services secrets soviétiques, qui ont tenté à plusieurs reprises de déstabiliser, puis de faire éclater la Turquie, des années 1960 aux années 1980 (Claire Sterling, Le Réseau de la terreur. Enquête sur le terrorisme international, Paris, Jean-Claude Lattès, 1981, pp. 229-237), suscitant les groupes terroristes d’extrême gauche, l’ASALA, les CJGA (branche terroriste de la FRA, créée par le congrès de 1972, celui qui officialisait le basculement des dachnaks du côté soviétique), puis le PKK.
En 1985, le congrès mondial de la FRA décidait de placer, parmi ses priorités, la collaboration avec l’extrême gauche turque, de préférence terroriste. En 1928, un congrès à Bakou avait réuni des nationalistes kurdes, des nationalistes arméniens et des kurdes antikémalistes, sous l’égide soviétique, les relations turco-soviétiques ayant connu une brève crise en 1928-1929.
[2] Taner Akçam a la double citoyenneté turque et allemande, ce qui est interdit. Ce fait seul est un fort indice corroborant ses liens étroits avec la BND.
[3] Tessa Hoffman a participé au soi-disant « Tribunal permanent des peuples », en 1984, qui a « condamné » le « génocide arménien ». Le président du tribunal était François Rigaux, ancien président de l’association Belgique-Kampuchéa (les défenseurs des Khmers rouges en Belgique). La contribution de Tessa Hoffman portait sur « les témoins oculaires allemands », tout particulièrement Armin Wegner, que Mme Hoffman présentait comme un témoin de premier plan. Or, en 1993, Martin Tamcke, professeur à l’université de Göttingen, publiait une étude dévastatrice sur Wegner, appuyée sur les archives personnelles de celui-ci (Armin T. Wegner und die Armenien : Anspruch und Wirklichkeit eines Augenzeugen, Cologne, Cuvillier, 1993 ; deuxième édition revue et augmentée, Münster, LIT, 1996). Depuis, Mme Hoffman a fait du rétropédalage, d’abord dans un livre (Armin T. Wegner. Writer, Eyewitness and Photographer of Armenian Genocide, Erevan, Apaga, 1996), puis dans un entretien avec Guenter Lewy, en 2001, à Berlin, où elle a fini par reconnaître que Wegner était une source dénuée de fiabilité (Guenter Lewy, The Armenian Massacres in Ottoman Turkey, Salt Lake City, University of Utah Press, 2005, p. 304, n. 22).
Mme Hoffmann a aussi republié les minutes du procès de S. Tehlirian, assassin, en 1921, de Talat Pacha. Pour la couverture, elle n’a rien trouvé de mieux qu’une peinture réalisée en 1872 par l’artiste russe Vasilli Vereshcagin : une pyramide de crânes symbolisant les horreurs de la guerre franco-prussienne de 1871 ; cette peinture était fréquemment présentée, dans les années 1980, comme une photographie de restes d’Arméniens ottomans (Türkkaya Ataöv, Armenian Falsifications, New York, Okey, 2008). Mme Hoffmann a fini par reconnaître la manipulation, à l’époque de l’affaire Perinçek.
[4] Sélectionnant les faits d’une manière inadmissible, elle nie ainsi de façon honteuse et perverse, le génocide des Héréros (peuple de Namibie) par les troupes coloniales allemandes de Namibie en 1904.
[5] Des faux avérés selon les historiens spécialistes.