Le ministère français des Affaires étrangères a répondu à une motion déposée par un député que ni le président Sarkozy, ni le gouvernement n’étaient en faveur d’amener à l’ordre du jour du Sénat, le projet de loi de censure arménienne visant à interdire tout contestation de la thèse officielle de "génocide arménien".
« Mettre à la lumière du jour les vérités sur les incidents du passé et de modeler notre mémoire commun est seulement du ressort des historiens » a-t-il été dit dans le texte en question émanant du Quai d’Orsay.
A l’approche des élections présidentielles de 2012 les organisations de lobbying arméniennes ont fait pression sur le Parti Socialiste pour que celui-ci présente le projet de loi au Sénat afin qu’il soit voté le mercredi 4 mai.
Avec TRT