L’Arménie, tout en étant l’un des pays les plus corrompus au Monde, est aussi l’un de ceux (voire le seul) à avoir une telle emprise sur la France. Dès lors, quoi de plus normal que l’Etat arménien tienne ses réunions avec ses ambassadeurs en France et pas à Erevan.

Selon la revue de presse de l’Ambassade de France en Arménie, le 9 décembre dernier, le ministre des Affaires Etrangères, Edouard Nalbandian, a rencontré à Paris les Ambassadeurs d’Arménie accrédités dans les pays européens et dans les organisations internationales. Le Ministre aurait fait le point sur le conseil ministériel de Dublin et présenté l’étape actuelle du "règlement" du conflit du Haut-Karabagh. Comprenez par là tous les efforts mis en jeu par l’Etat arménien pour maintenir le statu-quo et persevérer dans sa politique d’occupation militaire. En attendant, 1.000.000 d’Azéris espèrent pouvoir retourner sur leurs terres ancestrales qui servent pour l’instant de "parking" aux chars d’assaut d’Erevan.

Le Ministre n’a par ailleurs pas manqué de donner ses instructions aux Ambassadeurs en vue de la coopération entre l’Arménie et l’UE, le centenaire du "génocide arménien" etc.

Le président arménien, lors de sa visite à Paris, avait rencontré les organisations arméniennes de France. Laissant probablement le même genre d’instructions à ces prolongements de l’Etat arménien sur le sol français.

Et certains osent encore parler d’"entrisme"(sic) turc dans la politique française alors que des officines "franco-arméniennes" affiliées à la FRA Dachnaktsoutioun (parti national-socialiste arménien, extremiste et homophobe) baladent la France depuis bientôt un siècle avec un point culminant le 29 janvier 2001. La mauvaise foi n’a pas de limite.

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