23 avril 2024

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100e anniverssaire de la république de Turquie

A l’heure où l’on nous donne à voir que ce qui ne va pas, nous avons décidé d’aller voir tout ce qui va bien …


Regard sur

Les Trontin découvrent la Turquie

Publié le | par Sophie C. | Nombre de visite 4609

Ca y est, nous quittons l’Europe avec beaucoup d’émotions, surtout en commençant par Istanbul, un vieux rêve !!! On sert un peu les fesses aux abords de la mégapole, nous arrivons quand même un vendredi à 18h dans une ville de 12 millions d’habitants, même pas peur !!! Grâce aux conseils d’amis voyageurs, nous nous posons dans un parking aménagé à deux pas des sites. Quel bonheur de se réveiller au petit matin avec l’appel du muezin de la Mosquée bleue...
Nous commençons la découverte de la ville en passant l’après midi entière à nous perdre dans le Grand Bazar. Même si les lieux sont essentiellement fréquentés par des touristes, les allées, les boutiques et leurs vendeurs assurent une ambiance chaleureuse et colorée, où chaque vitrine de bijoux, de tapis, de sacs, de tissus ou de bric à brac attire l’oeil de ses éclats.
Le lendemain sera l’occasion d’admirer la majesté de la basilique Sainte Sophie, (transformée successivement en mosquée puis en musée), du parterre central aux tribunes, de la porte d’entrée au mihrab, les lustres grandioses semblent flotter dans les airs ! On profite de chaque morceau de mosaïque, de chaque plafond, de chaque recoin, on prend notre temps, quel plaisir !

La nuit tombante, nous descendons sous-terre pour découvrir Yerebatan Sarayi, une immense citerne byzantine, pour y marcher au dessus de l’eau et au travers de plus de 300 colonnes. La lumière confère aux lieux une ambiance feutrée et très particulière, d’énormes poissons y nageant lourdement comme dans un bassin japonais.
C’est par une nuit noire que l’on découvre le magnifique éclairage extérieur de la Mosquée Bleue et de Sainte Sophie. Encore une autre dimension, d’autres détails apparaissent, même le froid du début de soirée ne parvient pas à nous freiner, les enfants sont avides de découvertes, et pour combler tout le monde, nous rentrons dans la Mosquée Bleue ...
Tous nos sens en prennent un coup !!! Nous sommes éblouis par les 20 000 carreaux de faience bleue, par les tapis de prière, par la hauteur de l’édifice, par l’acoustique, par toute l’harmonie qui reigne dans ce lieu ...
Nous sommes sous le charme, rien d’autre à dire !!!
Après une nuit bien agréable, la tête pleine d’images, nous continuons notre découverte de la ville par le Palais de Topkapi. Nous nous attendions à voir les différents salons, cuisines et chambres remplis de mobilier et décoration nous faisant imaginer ce qu’avait pu être la vie dans ce grandiose ensemble.

Nous y trouverons des collections de bijoux, habits et trésors exposés dans des pièces qui n’ont rien à voir avec leur destination première ... un peu déçus et en même temps fascinés par le bâtiment et les dîtes collections !
Le jour suivant, nous voyons les enfants revenir des jeux, non loin de là, avec une barbe à papa. La gentillesse des gens est sans limite. Faruk et ses deux enfants, avec qui nous discuterons un long moment, les leurs a offertes par pure envie de faire plaisir ... décidément, on est surpris de jours en jours !
Nous traversons une partie de la ville pour aller prendre le bateau afin de faire une croisière sur le Bosphore. Après que Séverine se soit remise du tangage et ai retrouvé des couleurs, nous découvrons la ville sous un autre jour. Le plus surprenant tout d’abord, est le trafic incéssant, puis les bâtiments et quartiers qui voient leurs façades se transformer avec la nuit tombante, enfin les ponts qui changent de couleur et scintillent. Un très bon moment passé avec un petit thé et deux trois petits biscuits ...
A notre descente du bateau, nous remontons la colline pour rejoindre la mosquée Sultanamet. La prière a commencé, mince ... Le gardien nous fait signe de rentrer, un peu surpris, nous nous approchons et entendons les chants à l’intérieur.
Il insiste pour que nous entrions, nous nous déchaussons et passons le rideau sur la pointe des pieds. A ce moment précis, nos coeurs se mettent à battre plus fort, la beauté des lieux associée au fait d’avoir la chance d’assister à un "office", fait monter la joie simple de la contemplation. Sans mot dire, nous resterons assis sur les tapis mouelleux jusqu’à la fin de la prière ... Moment magique !
Pour cette fin de journée, nous regagnons le quartier de Kumkapi par des ruelles vivantes, très différentes du quartier touristique, et nous laissons tenter par un restaurant de poisson. Des mets délicieux dans une ambiance décontractée, une bien belle conclusion à notre séjour dans cette belle Istanbul. Nous quittons la ville sous le charme ... ce n’est bien sûr qu’un au revoir ! Direction la côte égéenne.

Après le recto, le verso, puis le recto : le convertisseur 12 V - 220V vient de lâcher, sans lui difficile de recharger le portable. Nous recherchons un magasin d’électronique, on se gare sur un trottoir, un peu comme tout le monde, je vais essayer de trouver une solution et pendant ce temps là, Séverine se fait engueuler par un policier, elle décoche un sourire et fait mine de ne pas comprendre, mais rien n’y fait ... le bougre n’est pas sensible à ses charmes, bien essayé mais il faut bouger, pas vraiment facile dans cette circulation où les rues sont étroites et bondées !!! Je sors de mon jeu de piste sans solution (démontage, recherche de l’expert des experts, d’un convertisseur neuf, ...) et vois un camping car qui se rapproche avec une conductrice arborant un visage un peu contracté et deux plis sur le front ... ouch, pas très joyeuse la voyageuse !!! Le lendemain, rebelotte, mais cette fois ci, on se gare comme il faut, juste devant la magasin, j’explique le problème, démontage, recherche de panne (je voulais juste en racheter un, on est pas habitué à réparer nous ...), il insiste, pourquoi dépenser 50 € si on peut réparer pour 4 ... logique pure ! Il ne trouve pas la panne, fait appel à l’expert qui vient de l’autre côté de la ville (30 000 habitants), trouve la panne, ne trouve pas la pièce, nous offre un, deux, trois, quatre thés, m’offre les fusibles dont j’avais besoin, offre une peluche aux enfants, nous propose de dormir gratuitement chez son frère qui a un hôtel en attendant la pièce qui pourrait arriver dans un jour ou deux ... Nous déclinons gentiment la proposition avant de reprendre la route et de se confondre en mille remerciements ... Dans ces conditions, on serait presque content de tomber en panne pour faire la rencontre de toutes ces personnes, toutes plus sympathiques les unes que les autres ... impressionnant et déstabilisant ... on a vraiment pas l’habitude d’autant d’humanité !!!

Après avoir finalement racheté un convertisseur neuf (on ne peut pas changer nos habitudes du jour au lendemain ...), nous arrivons à Pergame, petite ville tranquille avec son site antique juché sur la colline la surplombant. Nous nous promenons dans les rues accueillantes de son vieux quartier, une odeur de beignets fris vient nous chatouiller les narines, et avant que notre cerveau ai pu en analyser la provenance, une femme se dresse devant nous, nous bloquant le passage, rentre dans une maison à la porte ouverte, en ressort avec deux sachets en papiers remplis de ses beignets tout chauds. Surpris et en bon franchouiard, je sors mon porte monnaies, réflexe pavlovien oblige, deux billes rondes et noires me regardent droit dans les yeux, "yok" (non turque), je range mon porte monnaie avec douceur, comme une arme dans son étui ... Les beignets fondent sur la langue, avec un goût exquis, nous lui faisons comprendre que nous trouvons ça délicieux, que nous apprécions son geste. Elle repart aussitôt et revient avec un troisième sachet ... tout simplement heureuse de nous avoir rendus heureux !!! Nous n’aurons pas besoin de manger le midi ...

Le site antique de Pergame, bien que très venté et un rien frisquet, nous émerveille. La Turquie n’a vraiment pas à rougir de la Grèce. Nous le découvrons presque seuls, seul un bus de français est présent.
Des pierres scultées jonchent le sol, des colonnes sont étendues à terre et des ensembles complets sont reconstruits. Fronton aux nombreux détails, statue au milieu du chemin ponctuent notre visite.
Pour continuer sur notre lancée, à quelques kilomètres de là, Efes. Le long d’une longue allée menant à l’ancien port (ensablé, ce qui a provoqué l’abandon de la ville), se dresse le théatre, très bien conservé, ce qui nous permet de mieux expliquer aux enfants là où se trouvait la scène, l’orchestre, les coulisses, les couloirs ... nous faisons aussi nos moqueurs en écoutant chaque bus de japonais entonner une chanson pour tester l’acoustique !
En longeant l’agora, nous arrivons juste en face de la bibliothèque de Celsius ... une merveille !!! Jamais nous n’avions été aussi éblouis par un bâtiment antique. Cela fait sans aucun doute partie des plus beaux sites que nous ayons vus. Tout simplement fascinant !!! Après un petit casse-croute tiré du sac, juste en face de la bibliothèque, nous remontons ce qui était la rue principale : bains, latrines, temples, maison close, mosaïques, ...
Une bien belle journée avec en ponctuation finale, l’achat à Angèle d’un habit de danseuse orientale rose, qui sera essayé et testé dès notre arrivée dans la roulotte ... une bonne tranche de rigolade !
Le déguisement sera le principal intérêt et jeu pendant les prochains jours, y compris sur le site de Pamukkale, le "chateau de coton". En nous en approchant, nous avons l’impression qu’une giboulé n’a recouvert que cette petite partie de montagne ... le couché de soleil est féérique, la visite attendra le lendemain. Nous sommes dans un camping juste en face du site, ce qui nous permet de ne pas bouger.
L’eau qui ruisselle en bas du site est glaciale, plus nous remontons, plus elle se réchauffe jusqu’à se rapprocher des 30°C. C’est incroyable de marcher sur cette roche de calcite blanche, pieds nus, le blanc si pur étant synonyme pour nous de neige et donc de froid.
Les vasques d’eau se suivent et l’éclatante luminosité laisse la place à un site antique les surplombant. Nous nous laisserons rattraper par le soleil couchant qui amène rapidement avec lui le froid. La redescente nous laissera les pieds endoloris par l’eau glaciale, pendant un bon moment ...

Dalyan sera notre prochaine étape sur cette côte si belle et si paisible. Une promenade, avec un bateau rien que pour nous (la saison creuse a du bon !), nous emmène découvrir des tombeaux creusés dans la falaise.
Tout comme les Météores en Grèce, la question que nous nous posons encore, mais pourquoi donc se donner tant de mal et exposer la vie de certains à tant de risques, pour un édifice destiné, qui plus est, à des corps sans vie ...
La suite de notre navigation se fait en direction de la plage aux tortues, appelée ainsi car étant un lieu de ponte très fréquenté pendant une semaine dans l’année, enfin par les tortues. Il y a bien d’autres tortues qui doivent se mettre sur le dos sur cette plage, compte tenu du nombre impressionnant de pieds de parasols ...
Le bateau s’arrête non loin d’un autre que nous prenons pour des pêcheurs, ils jetent un fil avec un crabe à son extrémité, une fois, deux fois, à la troisième, les cris des enfants nous préviennent de quelquechose de spécial ! Une tortue remonte à la surface pour se nourrir, elle est énorme et se déplace avec une agilité et une rapidité qui nous étonnent ... Elle ouvre grand sa gueule et cisaille en deux le gros crabe bleu. Nous commençons à découvrir une nouvelle flore et une nouvelle faune.
La plage est magnifique et déserte. Nous prenons notre temps lors d’un pique-nique super sympa au bord de l’eau avec ses petites vagues nous berçant. Nous sommes lundi ...
Les jours se suivent et se ressemblent. Nous avons fait quelques kilomètres, toujours le long de la côte, et nous sommes maintenant à Patara, un site antique mais aussi une plage superbe. Nous faisons virevolter les cerfs volants en tous sens. Séverine pilote avec une dextérité emprunte d’un plaisir immense, juste la joie d’être là et faire ce qui procure du plaisir ... Nous ne visiterons pas le site.
Kalkan et son petit port seront notre escale en direction de la Baie de Kékova. Cette baie nous montrera ses côtés les plus surprenants, de nouveau à bord d’un petit bateau. Les vestiges d’une ancienne cité plongent dans des eaux cristallines, nous montrant ça et là des maisons et des temples immergés.
Nous grimperons aux travers d’un village désert, en direction d’un fort qui nous offrira une vue panoramique sur les massifs alentours, puis reprendrons notre embarcation, se laissant bercer par les flots !
Le retour sera surprenant, nous sommes encerclés par des bus de touristes, qui stationnent ici, le temps d’un repas, ou d’une croisière d’une ou deux heures. Ils sont arrivés tous à la même heure et la quinzaine de bus disparaîtront en même temps ... apparition, disparition, un tour à la Copperfield !

Olympos et Phaselis réveillent en nous des âmes de pionniers. Olympos n’est que très peu fouillé, les colonnes cotoient les morceaux de fronton à même le sol, le tout conférant aux lieux une atmosphère propice à la découverte et à l’émerveillement. On se croirait Indiana Jones, chapeau vissé sur la tête, sac en bandoullière ... On a pas osé prendre le fouet avec nous !!!
On se prend tellement pour des aventuriers, qu’on essaie de pêcher avec des chocos au très mauvais goût, n’ayant plus de pain, ce n’est pas pour autant que nous mangerons de la friture le soir ... encore bredouilles ... on est pas prêt pour l’autonomie alimentaire !!!

Comme nous n’avons plus peur de rien (ou presque !), nous nous stationnons dans le centre ancien d’Antalya, dix centimètres séparent la carrosserie des parois des rues ... pas très large ! Un certain charme se dégage de cette ville touristique, sans doute grâce à la température clémante et la basse saison.
Nous dégustons, ce qu’il appelle un cassoulet, le nom nous ayant tiré l’oreille. Même si cela s’avèrera être un ragoût, il en demeure néanmoins excellent. Le tout accompagné, toujours et encore par une petite bière.

Il nous faut maintenant penser à la suite du voyage. Le passage vers l’Inde, initialement prévu à travers l’Iran et le Pakistan, n’est plus à l’ordre du jour. Les tensions en Iran du fait du nucléaire, et surtout le fait de "recaller" notre itinéraire avec les bonnes saisons en Asie du sud-est, nous persuadent de faire transiter la roulotte en bateau. Il nous reste à décider où l’envoyer : l’Inde ou la Malaisie ? Comme depuis le début de notre voyage, nous pesons le pour et le contre, avec toute la subjectivité que celà comporte. Nous mettrons dans la balance, à tour de rôle, nos envies de découvertes, les coûts, les risques de conduite en Inde, les difficultés de recommencer les démarches de fret en Inde, notre inexpérience du voyage en sac à dos en famille, l’Inde du sud, l’Inde du nord, les deux, les possibilités offertes par les avions, l’excitation de se lancer dans une autre aventure dans le voyage ... Nous nous triturons les méninges, seront emplis de doutes, d’euphorie et de stress, et nous déciderons finalement d’envoyer la roulotte sur la Malaisie et d’aller découvrir l’Inde du Sud en sac à dos !!! Nous nous installons à Mersin qui est un important port en Turquie, les premiers chiffrages obtenus étant plus avantageux que depuis Istanbul. Commence alors la recherche du meilleur moyen pour faire transiter notre camping car, cargo ou roll-on roll-off. Nous nous faisons trimbaler par l’agent CMA CGM de Mersin, qui nous renvoie vers un soit-disant transitaire, qui s’avèrera n’être qu’un agent chargé des démarches de douane. Les jours et les nuits s’enchaînent comme les grains dans un sablier. Je commence à avoir le moral qui descend, le doute qui s’installe. Suis-je fait pour ce genre d’aventure ? Séverine et les enfants tiennent bien mieux le cap que moi, fort heureusement !!!
Nous avons l’énorme chance d’avoir trouvé le seul camping ouvert à une heure de Mersin, et surtout, nous trouvons là des gens merveilleux.
Aïcha, Kamer, Illias et Nuri sont débordant de gentillesse, venant discuter en toute simplicité, nous apportant assiettes de plats faits maison, soupes, thés, pâtisseries, le tout avec un sourire qui en dit long sur eux.
Kamer ira même jusqu’à inviter Charles dans un restaurant de poissons, à une heure de route, qu’il fera comme un grand, sans parents et sans sa soeur. Il revient avec un sourire lui fendant le visage jusqu’aux oreilles, heureux de sa soirée.

Le temps passe et chaque jour emporte un morceau de notre enthousiasme. Nous ne comprenons pas tout de ses fichues démarches, qui est en charge de quoi, que devrons nous payer au final, et avec ce tic tac du temps qui passe, Noël qui approche. Serons nous encore ici, dans cette ville sans intérêt pour fêter ce moment important avec les enfants. Serons-nous en Inde, serons-nous à Istanbul ? Enormément de questions sans réponses. Nous nous agitons comme une abeille endolorie par le froid jusqu’à ce que notre potiche de CMA CGM daigne nous donner le nom d’un vrai transitaire (ce ne sera qu’à ce moment là que nous découvrirons que notre autre contact n’était pas un transitaire ...). Et de là, les premiers mails et rendez-vous avec le forwarder MTS, toutes les lumières s’éclairent au plafond, le lumière du bout du tunnel se fait plus grande d’heure en heure. Après 17 jours à avoir patauger dans la mélasse, en 2 jours, Rusan Guven nous obtient un prix juste et ferme, toutes les étapes sont claires, son rôle et sa responsabilité sont clairement identifiés et, cerise sur le gateau, nous avons à faire à un turque dans toute sa gentillesse et son amabilité. Il nous offre le restaurant, nous trouve une chambre d’hôtel dans un établissement luxueux pour le prix d’une pension et reste disponible pour toute question, le tout avec une réactivité sans faille.

Nous voilà rassurés, même si le reste de ce qui nous reste à faire et les jours passés ont laissé des craquelures dans la cuirasse ... L’esprit un peu plus libre, nous faisons le répérage et les achats pour les cadeaux du Père Noël, nous ne sommes, pour le coup, pas plus en avance que quand nous étions en France. Nous sommes à 5 jours de Noël ... Nous préparons les sacs à dos, passant d’une maison à une roulotte, nous voilà passant d’une roulotte à deux sacs. On ne s’en sort pas mal, avec un de 15 kg et un autre de 17 kg, plus les sacs de journée.

Sources : GLOBE TRONTIN
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