Travaillés au corps par les différents organisations de lobbying arméniennes de leur région, les élus de Lyon cèdent de nouveau aux chantages des nationalistes arméniens et passent sous silence 50 années de propagande raciste et anti-turque menées par certaines organisations de l’extrême droite arménienne basées en France.

Ainsi le Sénateur-Maire de Lyon promet 300 000 euros pour la construction d’un "Centre de la Mémoire arménienne de Décines", fait inquétant pour les Français d’origine turque pourtant habitués à ces centres de "mémoire" arméniens où il n’est jamais fait nulle part référence aux victimes turques massacrés par les troupes ultra-nationalistes arméniennes entre 1914 et 1922.

Radio Arménie a donc annoncé que le samedi 1er décembre 2007, le Sénateur Maire de Lyon a répondu aux questions des "journalistes" sur le développement de l’agglomération lyonnaise, son rayonnement international, puis sur les questions de politique nationale et internationale, telles que la pénalisation de la réfutation de l’histoire officielle française sur le contentieux historique turco-arménien, l’entrée de la Turquie en Europe.

Gérard Collomb aurait appelé les instances de l’UE à accentuer la pression sur les Turcs afin de la pousser à accepter les revendications des ultra-nationalistes arméniens.

Gérard Collomb aurait également évoqué les difficultés qu’il a eu lors de l’édification du « Mémorial du génocide des Arméniens et de tous les génocides(sic !) » au cœur de la ville de Lyon avec une partie de son opposition, ainsi que les agissements de la communauté turque mobilisée par une manifestation condamnant la turcophobie et la mémoire sélective induite par ce mémorial dédié uniquement aux victimes arméniennes de 1914-1922.

Les manifestants d’origine turque avaient été violemment pris à parti par des activistes arméniens rassemblés sans autorisation au même endroit.

Gérard Colomb n’a pas hésité à appeler les groupes de pression arméniens à se mobiliser « comme ils ont toujours su le faire » en faveur du vote par le sénat de la loi pénalisant par de lourdes amendes et des peines de prison toute réfutation des thèses arméniennes de "génocide" inscrites dans l’Histoire Officielle française par une loi de 2001 [NDLR : Il va falloir faire de la place pour les historiens dans les prisons française].

Le Maire de Lyon a enfin annoncé que le Grand Lyon soutiendrait le projet de construction à Décines du "Centre National de la Mémoire Arménienne" (et surtout pas turque ! Ce serait un affront !), avec une subvention de 300.000 euros [NDLR : Les Français d’origine turque seront heureux d’apprendre où passent leurs impôts].

La Région Rhône - Alpes s’était également engagée auprès des organisations de lobbying arméniennes à verser une somme de 300.000 euros.

On ne doute pas que l’agglomération lyonnaise, soucieuse de son "rayonnement international", tiendra une place de choix dans le classement mondial de la turcophobie, de la mémoire sélective et de la censure...