Collusion entre nationalistes arméniens et extrême-droite belge
Racisme Anti-turc en Belgique : Emir KIR cible des extrêmistes belges et arméniens
Lors des élections communales du 14 octobre 2012, le ministre Emir KIR, en obtenant le plus de voix (devant même la tête de liste), est devenu maire de Saint-Josse (Belgique).
Aujourd’hui, il est victime de harcèlement et d’attaques turcophobes infâmes car il conteste la qualification de « génocide » pour le drame vécu par les Arméniens ottomans en faisant valoir les conclusions des historiens experts de l’Histoire turco-ottomane comme Guenter Lewy ou Gilles Veinstein.
Que Emir Kir soit de gauche ou de droite n’a aucune importance pour nous. Il s’agit purement et simplement de lutter contre l’injustice, contre la turcophobie, et de défendre la liberté d’expression et le travail des historiens.
Lors des élections communales du 14 octobre 2012, le ministre Emir KIR, en obtenant le plus de voix (devant même la tête de liste), est devenu maire de Saint-Josse (Belgique).
Aujourd’hui, il est victime de harcèlement et d’attaques turcophobes infâmes car il conteste la qualification de « génocide » pour le drame vécu par les Arméniens ottomans en faisant valoir les conclusions des historiens experts de l’Histoire turco-ottomane comme Guenter Lewy ou Gilles Veinstein.
Que Emir Kir soit de gauche ou de droite n’a aucune importance pour nous. Il s’agit purement et simplement de lutter contre l’injustice, contre la turcophobie, et de défendre la liberté d’expression et le travail des historiens.
Extrémistes belges et arméniens main dans la main
Dans son édition du jeudi 25 octobre, le journal belge aux origines fascistes, UBU-PAN publie en Une un dessin diffamatoire et titre "Le PS nomme le premier Bourgmestre négationniste de Belgique". Le journal extrémiste reprend ainsi mot pour mot les insultes développées par les extrémistes arméniens francophones à l’encontre d’Emir KIR.
La raison invoquée pour cette déferlante de haine : "Emir Kir (...), nouveau bourgmestre de Saint-Josse et d’origine turque, refuse encore et toujours de reconnaître le génocide arménien. (...)". Et M. Alain De Kuyssche d’appeler dans un "communiqué de presse" à "répercuter cette information".
De la pure turcophobie
Il n’y a aucune approche dépassionnée et scientifique dans la démarche du journal UBU-PAN ou des nationalistes arméniens qui se réjouissent de sa publication. La virulence des accusations se fondent uniquement sur la haine de l’autre en raison de ses origines turques. Les historiens spécialistes et émérites comme les Américains Guenter Lewy, Bernard Lewis et le Français Gilles Veinstein contestent la qualification de "génocide" pour le drame arménien. Précisons, puisque les origines sont tellement importantes pour les extrémistes, qu’ils sont tous les trois de confession juive et de fait très sensibles au mot "génocide". La position du ministre Emir Kir et nouvellement maire se fonde sur les conclusions scientifiques de ces historiens mondialement réputés et reconnus.
En outre, le mot "négationnisme" (voir les dictionnaires de la langue française) s’applique exclusivement au génocide juif que personne ne conteste. Le parallèle que les extrémistes arméniens veulent faire avec la Shoah est clairement déplacé.
"Nous rejetons les tentatives de créer une similarité entre l’Holocauste juif et les allégations arméniennes. Rien de comparable à l’Holocauste n’a eu lieu. Ce qu’ont enduré les Arméniens est une tragédie mais pas un génocide" - Shimon Peres, président d’Israël
Cette attaque raciste s’ajoute à une longue liste d’actes anti-turcs observés en France, en Allemagne et en Belgique depuis plusieurs mois.
Une page Facebook Alerte Racisme Anti-turc Belgique a été créée afin de répondre et faire front contre la turcophobie en Belgique : Cliquez sur J’AIME.