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vendredi 22 septembre 2023

Fascisme : National-socialisme arménien en France

Terrorisme anti-turc

Turcophobie : Le lobby arménien rend hommage aux "Cinq de Lisbonne" en France

Publié le | par TN-pige | Nombre de visite 2642
Turcophobie : Le lobby arménien rend hommage aux "Cinq de Lisbonne" en France

Les ultra-nationalistes arméniens de France rendent hommage à un groupe terroriste.

Un hommage a été rendu dimanche 27 Juillet aux cinq terroristes arméniens qui ont attaqué l’ambassade turque à Lisbonne, le 27 juillet 1983.

Contrairement à ce que l’on pourrait croire cet "hommage" n’a pas été rendu par un obscur groupuscule ultranationaliste, mais par la toute puissante Fédération révolutionnaire arménienne (FRA Dashnaktsoutioun), parti politique national-socialiste représenté au gouvernement d’Erevan, dont un délégué a tout récemment été élu vice-président de l’Internationale socialiste et qui dispose de bureaux et de représentations en France (http://www.fra-france.com/index.php?page=article&id=54).

La branche terroriste de la FRA, appelée "Commandos des justiciers du génocide arménien", puis "Armée révolutionnaire arménienne", a commis en France plusieurs attentats, notamment l’assassinat de l’ambassadeur turc à Paris, le 24 octobre 1975 (revendiqué aussi, mais à tort, par un groupe rival, l’ASALA), puis celui de l’attaché au tourisme de l’ambassade turque, le 22 décembre 1979.

Quand ce parti a officiellement renoncé au terrorisme anti-turc, lors de son congrès tenu à Athènes en 1985, il a décidé que ses spécialistes en explosifs seraient détachés auprès d’un autre groupe terroriste, de la mouvance nationaliste kurde celui-là, le PKK.

La FRA a organisé un double assassinat en 1993, puis tenté d’implanter un groupe terroriste et mafieux en Arménie, ce qui lui a valu une interdiction temporaire.

Pour en savoir plus sur le terrorisme arménien, vous pouvez consulter notre dossier « Cause arménienne » et terrorisme (également téléchargeable au format PDF ou Word)

Depuis sa fondation, en 1890, la FRA se fait passer auprès des bonnes âmes occidentales pour ce qu’elle n’est pas : un honnête parti-social démocrate ; il s’agit en réalité d’un parti extrémiste et antidémocratique.

Cela n’a pas empêché le parti socialiste français de signer officiellement un pacte éléctoral. La FRA avait pour mission d’appeler ses partisans, militants et activistes à voter pour le PS en France et en échange, le Parti Socialiste se devait de porter à l’ordre du jour les revendications des nationalistes arméniens visant à instaurer en France leur version officielle de l’histoire concernant les massacres réciproques survenus entre Turcs et Arméniens en Anatolie entre 1914 et 1922.

Les enjeux éléctoraux aidant, le lobby arménien emmène les élus français sur le terrain glissant du lobbying communautariste sur fond de terrorisme et de haine anti-turque. Les méthodes sournoises employées par les ultra-nationalistes arméniens n’ont pour le moment été dénoncés par aucun élu qui semblent craindre les foudres des nationalistes arméniens et le poids éléctoral que la communauté arménienne représente.

Notons également que la FRA téléguide un certain nombre d’organisations (dont les plus puissantes des organisations de lobbying arméniennes de France mais aussi des Etats-Unis), sous couvert d’associations dites "cuturelles" dont les activités et les prises de positions ne sont ni plus ni moins qu’un florilège de nationalisme chantant les louanges de la suprématie arménienne sur les Turcs et des propos anti-turques sur fond de racisme et de turcophobie notoire, tout celà sur le sol français.

Dans la catégorie fascisme, on ne s’inquète donc pas, du moins pour le moment, des beaux jours qui attendent encore le national-socialisme arménien en Europe et tout particulièrement en France.


Affiche publicitaire de l’événement publiée sur le site internet de l’antenne France de la FRA Dashnaktsoutioun