mercredi 29 mars 2023
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L’Arménie sombre dans l’extrême pauvreté contrairement à ses voisins

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L'Arménie sombre dans l'extrême pauvreté contrairement à ses voisins

Dans une analyse détaillée basée sur les statistiques du gouvernement, il est estimé que la proportion d’Arméniens qui vivent en dessous du seuil officiel de pauvreté atteint 28,4 % au deuxième trimestre de cette année. Le taux officiel de pauvreté était de 25,6 % pendant la même période de l’année dernière, ce qui signifie que le nombre de pauvres a augmenté.

La banque mondiale a déclaré que le niveau d’extrême pauvreté a presque doublé. "Ces événements constituent une régression pour l’Arménie, après une décennie de croissance à deux chiffres’’ a indiqué M. Ersado, un haut économiste de la Banque mondiale.
L’économie de l’Arménie s’est contracté de 18,3 % entre Janvier et Septembre 2009, ’’l’une des plus fortes baisses du PIB dans le monde’’.

L’Arménie devrait songer à régler le problème du Haut-Karabakh afin de ne plus vivre dans l’instabilité et la pauvreté
Depuis 1998, l’expulsion massive des Azéris de la région autonome du Haut-Karabakh s’est traduite par une véritable épuration ethnique de toute la population non arménienne et malgré les condamnations et résolutions de l’ONU, les troupes arméniennes occupent la province du Haut-Karabagh et sept autres régions azéries.

Les principaux responsables et sources du blocage économique du pays sont les organisations nationalistes telles que la FRA Dachnaktsoutioun, le Nor Seround, l’ANCA, le collectif VAN et le CDCA.
Ces organisations, oeuvrant contre la paix et pour imposer leur version de l’histoire, freinent le moteur économique de l’Arménie.

Rappelons que plus de 500.000 civils turcs, azéris et kurdes ont été massacrés par les milices arméniennes durant la Première Guerre Mondiale. Fait avéré nié par le gouvernement arménien et les diasporas arméniennes.
Alors que tous les pays saluent les protocoles turco-arméniens signés le 10 octobre, les organisations diasporiques arméniennes s’y opposent avec virulence.
Ces protocoles prévoient notamment la création d’une commission d’historiens pour connaitre la vérité sur la tragédie vécue en 1915. Même si la Turquie avait maintes fois proposé à l’Arménie de discuter et d’ouvrir les archives ottomanes, l’Arménie préférant continuer sa propagande avait refusé tout débat et investigation scientifique.




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