Essentiellement politique, la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques 2024 à Paris a été l’occasion pour l’État français d’imposer au reste du monde ses mensonges, son idéologie délirante, ainsi que ses projets politiques mégalomaniaques.
Les jeux olympiques font la promotion du crime

Ainsi, derrière ce spectacle politique obscène, qu’on pourra entendre ob-scène, ob-seine ou obs-cène, commandé et commandité par l’État et scénarisé par un directeur artistique minable, il faut comprendre ce que l’État français entend faire passer comme message.
D’une part, factuellement, l’État français devient de moins en moins démocratique et de plus en plus institutionnellement xénophobe et discriminatoire vis-à-vis des minorités, en particulier turque (j’ai été moi-même pris pour cible par le système français en raison de mes origines turques, par ailleurs, en France, le nombre d’OQT, obligation de quitter le territoire, est le plus élevé d’Europe, les musulmans sont massivement insultés, désignés comme cibles dans les médias, le système surveille et opprime illégalement tout ce qui est étranger à lui, etc.) et d’autre part, d’une manière propagandiste, l’État français vend de l’égalité, de la solidarité, de la tolérance sous la forme d’hommes déguisés en femmes à barbe.
Il y a donc une contradiction fondamentale ici, et toute contradiction renferme un objectif politique, qui, dans ce cas, est celui-ci : s’implanter et s’imposer dans d’autres sociétés par une norme sociale, le LGBTisme, qui, comme nous le voyons, est, en Occident, sous contrôle politique, voire étatique.
Par conséquent, les Occidentaux ne considèrent pas les LGBT pour ce qu’ils sont, des pauvres gens, mais pour les utiliser à des fins politiques, géopolitiques, impérialistes et néocolonialistes.
D’ailleurs, la cérémonie d’ouverture des jeux, a bien montré le rôle de propagande des LGBT : on ne les voit ni au début, ni à la fin de la cérémonie en tant que porteurs de la flamme olympique symbole de la civilisation occidentale.
Ceux qui portent la flamme sont des gens « classiques », les LGBT étant utilisé(e)s à des fins de propagandes politiques, réduits à leur apparence physique et leur sentiment, on vend sur leur dos une diversité, une religion vide de sens, mais non sans dirigeants, la diversité se réduisant alors, comme pour les minorités visibles, à une diversité d’apparence, mais non à une diversité de langues ou de cultures, c’est-à-dire qu’il s’agit d’une fausse diversité : sous plusieurs apparences, une seule langue, le français, et une seule culture, franco-occidentale.
Ainsi, cette cérémonie n’annonce pas tant une campagne pro-LGBT, comme certains l’ont cru (les LGBT servant de fausses diversités), qu’une offensive pro-civilisation occidentale portée par le système (collaboration opaque des États et des civils occidentaux), représenté par le personnage masqué, symbolisant les forces opaques occidentales, les militaires, c’est-à-dire les forces armées étatiques, et les populations organisées, représentant le bras civil actif de l’Occident, cette organisation ambitionnant de fédérer le reste du monde symbolisé par leur drapeau national, qui marche en bon ordre derrière le personnage masqué et les militaires.
Tout ce spectacle délirant, toute cette propagande sont particulièrement ridicules, ils montrent que le monde occidental est en bout de course et sa propagande en fin de vie, et nous aurions pu les considérer avec le mépris qui s’impose, s’ils n’impliquaient pas tant d’effets funestes : promotion des crimes passés, décapitation de Marie-Antoinette et, par conséquent, du génocide des Vendéens, est-ce pour justifier les crimes du présent ? En effet, le système occidental est de moins en moins démocratique et de plus en plus criminel.
Ainsi, dans tout ce fatras, ce ramassis de concepts et de propagandes, il manquait le principe le plus important, celui de démocratie, et pour cause.
En effet, à l’image du LGBTisme qui n’est une diversité qu’en apparence, l’État de droit, la démocratie ne sont qu’en apparence en France et dans les États occidentaux qui fonctionnent selon le même modèle politique : à savoir que le pouvoir n’est plus au peuple à travers ses représentants légaux, mais a été accaparé par un système qui s’est organisé dans le monde politique (hormis les partis extrémistes) et dans le monde civil (médias, partie de la population organisée).
Cette collaboration illégale, anti-démocratique et opaque d’une partie du monde politique et d’une partie du monde civil constitue l’État ou, pour mieux dire, le système (car le terme État est un terme légal et légitime), et l’alliance des États occidentaux, qui fonctionnent selon ce système, représente le réel de l’union occidentale, c’est-à-dire l’organisation occidentale derrière ses faux habits de démocratie et de transparence.
Le système occidental opaque, qui est impérialiste à l’extérieur et anti-démocratique (car étant opaque et illégal, c’est-à-dire contrevenant aux pouvoirs et contre pouvoirs légaux) à l’intérieur, passe, à notre époque, par l’organisation de pans entiers de populations.
Je suis moi-même pris pour cible illégalement par ce système occidental en raison de mes origines turques et au fait que ce système mène des opérations impérialistes dans le monde turc, en dehors de tout cadre légal et de tout le droit international, sous couvert de structures civiles, d’idéologie faussement internationaliste, communarde ou LGBTiste.
Monde turc dans lequel le système à de nombreux relais qui sont turcophobes, anti-républicains et qui portent les intérêts occidentaux, à l’image d’une partie des minorités visibles qui dans le monde occidental relaient, en connaissance de cause ou par simples intérêts, l’idéologie et les intérêts occidentaux.
İlker Tekin