Une dizaine d’hommes d’affaires et opérateurs économiques turcs ont rencontré pendant trois jours à l’hôtel Mercure leurs homologues algériens dans le but de développer des « partenariats durables » dans divers secteurs. Les opérateurs turcs ont fait part, dès l’ouverture des portes ouvertes, de leur forte volonté d’intégrer le marché algérien et de nouer des partenariats durables avec leurs homologues algériens. Initié par l’entreprise turque, Musiad, dirigée par M.Zeki Guvercin, M.Lutfi Simsek docteur à l’hôpital Konya a fait savoir que de nombreuses firmes turques désiraient investir en Algérie dans des secteurs comme ceux de la médecine, des matériaux de construction, de l’industrie mécanique et électronique et des services. Il a, par la même occasion, invité les opérateurs algériens à visiter la région de Konya qui est à la fois un pôle industriel et universitaire. « Notre objectif dans l’immédiat consiste à développer davantage nos relations économiques et commerciales en intensifiant le développement de nouvelles opportunités de partenariat entre les hommes d’affaires et les entreprises algériens et turcs », a notamment déclaré, hier,, lors dans un point de presse organisé en marge des portes ouvertes.
Il s’agit, selon lui, de développer des rapports économiques mutuellement bénéfiques pour les deux pays, insistant sur le fait que les opérateurs économiques et les investisseurs sont prêts à investir en Algérie qui renferme des potentialités importantes dans une sphère économique où existe la liberté d’entreprendre régie par des textes garantissant la promotion de l’investissement. « L’Algérie a consolidé l’allègement des procédures administratives et possède un programme national de développement économique ambitieux doté de 286 milliards de dollars pour le plan quinquennal 2010-2014, attractif, donc, pour les investisseurs étrangers », a-t-il ajouté, précisant que « les hommes d’affaires et les investisseurs turcs, ainsi que les industriels sont d’accord pour assurer le transfert de technologies et de savoir-faire au profit des entreprises algériennes ».
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