La France vient de faire savoir à la Turquie qu’elle était favorable à la relance des négociations d’adhésion de ce pays à l’Union européenne. C’est un tournant. Le dossier avait été gelé par Nicolas Sarkozy. Il flattait ainsi une opinion publique de plus en plus réticente à l’islam et totalement ignorante d’un pays dont elle sait seulement que l’immense majorité des 75 millions d’habitants est musulmane et que le parti du Premier ministre, Recep Tayyip Erdogan, l’AKP, est religieux.

Lire la suite sur Ouest-France