La Turquie et la Grèce se distinguent dans le Top 50 des universités des économies émergentes

A l’exception de celle de Paris Sciences & Lettres (PSL), 72e, aucune autre université d’un pays méditerranéen ne se trouve dans le Top 100 des meilleures universités mondiales 2018. Ce classement, établit par le journal britannique Times Higher Education, est très largement dominé par les établissements anglo-saxons (États-Unis et Royaume-Uni).
Le journal présente, pour la première fois, un classement européen dans lequel, après Oxford et Cambridge, arrivent l’Université de la Sorbonne (Paris) mais aussi l’université de Navarre (8e), l’université Paris-Sud (17e), l’université de Barcelone (19e), l’université autonome de Barcelone (20e) et l’université autonome de Madrid (22e). Dans le Top 50 se glissent l’université de Lisbonne (28e), celle de Trente (Italie 36e), de Pompeu Fabra (Barcelone 42e), de Porto (43e) de Padoue (Italie 46e) et Claude Bernard Lyon 1 (50e).
Times Higher Education propose aussi un classement des universités des économies émergentes dominé par la Chine mais où la Turquie et la Grèce se distinguent avec respectivement six et cinq établissements dans le top 100. L’université de Koç (Istanbul) se positionne à la 16e place et celle de Sabanci (40 km d’Istanbul) à la 18e. Autres présences méditerranéennes, l’université de Chypre qui occupe le 30e rang ainsi que l’université de technologie de Chypre (37e), l’université de Crète (39e) et celle de Bilkent en Turquie (45e).
Source : avec EcoNostrum