« Nous n’avons pas encore tenu de rencontre préparatoire à ce sujet. Mais à notre avis, il serait utile que la Turquie se joigne aux négociations à une certaine étape", a indiqué M.Riabkov au journal Rossiïskaïa Gazeta.
Selon lui, il s’agit d’une bonne idée parce que l’Iran a accepté que la Turquie se porte garante de l’accord sur l’échange d’uranium faiblement enrichi (à 3,5%) contre du combustible enrichi à 20% pour le réacteur de recherche de Téhéran que l’Iran, la Turquie et le Brésil ont signé le 17 mai dernier.
La Russie insiste toujours sur la tenue d’une rencontre du Groupe de Vienne et de l’Iran consacrée aux modalités techniques d’échange de combustible dans un pays tiers, idée avancée en octobre 2009, a conclu M.Riabkov.
Source Alter Info