La Chine met en place un plan d’extermination des Ouïghours par le pouvoir communiste sur place au Turkestan Oriental (Région Autonome Ouïghoure du Xinjiang) sous le nom le « camp de rééducation politique ».
Historique
Les Ouïghours sont un peuple ancien de l’Asie centrale qui a créé une grande civilisation sur l’ancienne Route de la Soie. Au cours de l’histoire, ce peuple a eu des croyances diverses, christianisme, bouddhisme, chamanisme et islam. Au fil du temps, les Ouïgours ont établi leurs propres états dans des régions en Mongolie, en Sibérie et en Asie Centrale.
Chronologie :
En 1884, le Turkestan Oriental conquis par l’Empire mandchou (Dynastie Ching) est devenu le Xinjiang (qui signifie « Nouvelle Frontière » en chinois).
En 1912, la région devient une partie de la République de Chine.
En 1933 (12 novembre), création de la République Islamique du Turkestan Oriental à Kashgar.
En 1944 (12 novembre), création de la République du Turkestan Oriental à Gulja.
En 1949 (octobre), cette république est occupée par la nouvelle république populaire de Chine communiste (en fait vendue par Staline).
En 1955, le statut d’autonomie est donné, la région est appelée « Région Autonome Ouïghoure du Xinjiang ».

Depuis toujours, les Ouïghours et les autres minorités du Turkestan Oriental sont tenus à l’écart de leurs droits fondamentaux. Ce peuple a toujours été soumis à une oppression du gouvernement central de Pékin.
Une répression constante et des massacres ont toujours eu lieu au Turkestan Oriental. L’une des plus importantes d’entre elles a eu lieu le 5 juillet 2009 à Urumchi : une manifestation pacifique d’étudiants a été réprimée par l’autorité chinoise et des milliers d’Ouïghours ont été abattus ou emprisonnés.
Depuis cette date, la situation de ce peuple se détériore gravement. Le gouvernement chinois couvre ses atrocités sous différentes allégations :
Les Ouïghours sont tout d’abord appelés « séparatistes » alors qu’ils luttaient pour leurs droits fondamentaux, pour la reconnaissance de leur propre identité et qu’ils vivaient en harmonie avec les autres communautés.
Mais après le 11 septembre 2001, la Chine a renforcé leur répression sous la couverture de "Guerre contre le terrorisme".
Pire, depuis l’apparition du Daesh en différents lieux du globe, cette répression a pris le nom de « mesures contre l’extrémisme religieux » sous le simple prétexte que les Ouïghours sont musulmans et que rien n’atteste d’une relation entre Daesh et le peuple Ouïgour.
L’objectif de la Chine est en fait l’assimilation culturelle de cette ethnie ; comme elle l’a fait ailleurs avec les Tibétains, et le non-respect de ses engagements d’autonomie vis-à-vis de ces régions.
Voilà pourquoi le peuple Ouïghour a commencé à militer pour son indépendance.
En 1949, la population chinoise ne représente que 3% des habitants du Turkestan Oriental, mais à cause de la « Politique d’aller à l’ouest » de Pékin, les immigrants Han-chinois représentent maintenant plus de 40% des habitants de ce territoire. (Plus de 30 millions d’habitants en tout).
L’administration donne à l’ethnie Chinoise HAN toutes les priorités dans l’emploi, les logements, les terres à cultiver, la protection sociale et l’aide financière. Tout cela augmente donc la frustration et la colère de la population Ouïghoure locale.
Situation actuelle
I. Les camps de concentration hérités du Nazisme
Puisque toutes ces mesures d’emprisonnement, d’assimilation culturelle n’ont pas fonctionné, le gouvernement chinois a mis en place depuis avril 2017 des camps de concentration de type nazi dans tout le Turkestan Oriental. Ces camps sont appelé « Camps de rééducation politique ». Des détentions arbitraires d’intellectuels ou simples travailleurs Ouïghour ont lieu massivement. De nombreux espaces publics et écoles sont transformés en camps.
Les communications téléphoniques et Internet des Ouïgours avec le monde extérieur ont été interdites en même temps, sauf curieusement le « Wechat » sorte de Messenger sous contrôle chinois.
Au rang des détenus figurent les Ouïghours ayant séjourné à l’étranger, les religieux, puis les Kazakhs et Kirghizes donc les familles, qui ayant fui l’oppression chinoise ont obtenu la nationalité kazakh et kirghiz.
Des intellectuels, de nombreux universitaires, des académiciens et des artistes sont également détenus, de même, les riches Ouïghours et les entrepreneurs qui détiennent plus de 300 000 RMB (40 000 €).
Selon les statistiques officielles chinoises de fin 2017, le nombre d’Ouïghours dans les « camps de rééducation » a dépassé 1 000 000. Mais selon les détenus Kazakhs qui fuient la Chine, il y’aurait 3 000 000 de personnes dans les camps et dans les prisons.
LISTE des CRIMES COMMIS par l’Administration Chinoise
1. Les crimes dans les camps de concentration de type « ouvert »
Les Ouïgours sont obligés d’apprendre le chinois mandarin, en particulier les « chansons rouges », regroupant des textes de propagande de lavage de cerveau politique du PCC et l’hymne national chinois.
Les camps de concentration ouverts sont montrés à la télévision et leur rôle est loué.
2. Les crimes dans les camps à concentration de type « fermé »
1. Nourriture forcée avec du porc et consommation d’alcool
2. Injection et absorption des médicaments inconnus sans prescription ni contrôle médicaux
3. Injection forcée de virus du sida, ou d’autres virus, notamment visant le foie
4. Torture en prison avec l’eau froide et suffocation
5. Torture par siège électrique
6. Victime de trafic d’organes
7. Victime d’expériences biologiques
8. Viol des filles ouïghoures que l’on laisse ensuite libre de partir lorsqu’elles sont enceintes d’un bébé chinois mixte.
Aujourd’hui, la construction des camps de concentration est en plein essor, jusqu’à maintenant 57 camps de concentration et leurs emplacements géographiques ont été trouvés. Chaque camp de concentration contient environ 10 000 à 20 000 ouïghours.
Dans le même temps, des constructions massives des CREMATORIUMS ont lieu et des annonces de recrutement pour les personnes "courageuses" sont publiées sur internet.
Les atrocités inhumaines commises par le régime chinois dans ces camps de concentration sont révélées par plusieurs ressortissants kazakhs qui ont pu être libérés des camps. Selon eux, les jeunes Kazakhs qui ont été libérés ont perdu leur sperme, ce qui signifie qu’ils ne pourront jamais devenir père. Les filles ne peuvent jamais être mères à l’avenir. Certains Kazakhs n’ont même pas reconnu les membres de leur famille après leur libération. Certains selon l’âge, ne parvenaient même plus à se comprendre ni parler la même langue.
Tout ceci pose question sur les médicaments inconnus et les injections administrés. C’est évidemment un génocide ethnique et biologique.
3. La langue ouïghoure est complètement interdite
A partir de septembre 2017, les cours de langue ouïghoure dans les écoles ouïghours ont complètement disparus et toutes les classes sont maintenant enseignées en chinois. Toutes les librairies, bibliothèques sont fermées et tous les livres, magazines écrits en ouïghour sont brûlés. Même les familles ouïghours sont priées de remettre tous les livres ouïghours. Dans la rue, les Ouïghours ne peuvent pas se parler ouvertement en Ouïghoure.
4. Le mariage forcé des filles ouïghoures avec les hommes chinois Han
Afin d’accélérer l’assimilation, les autorités chinoises encouragent les Chinois de bas-rang à épouser les filles ouïghoures. N’importe quel chinois peut maintenant demander à se marier avec des filles ouïghoures qu’il voit dans la rue, si la fille ouïghoure n’accepte pas, l’autorité locale menace d’envoyer les membres de sa famille dans les camps de concentration.
Début juin 2018, l’autorité chinoise a annulé le visa et le permis de séjour temporaire de tous les étrangers dans le territoire du Turkestan Oriental et les a forcés à quitter la région. Cela comprenait même les étudiants des Etats membres de l’Organisation « Coopération de Shanghai » qui étudie grâce aux bourses du gouvernement chinois et l’accord mutuels des gouvernements.
Selon les plus récentes informations publiées par des étudiants ouïghours qui étudient dans les provinces chinoises), le nombre des Ouïghours détenus et emprisonnés a dépassé les 6 000 000. Chen-Quango (le secrétaire du parti communiste chinois au Turkestan Oriental) a même demandé la détention également des autres membres de la famille des détenus.
En conséquence de ces emprisonnements, la construction des orphelinats est également en plein essor dans le Turkestan Oriental. En effet, les enfants des détenus ne peuvent pas vivre avec leurs proches. Ceux-ci sont emmenés de force par le gouvernement chinois et placés dans des orphelinats.
Le gouvernement chinois aurait emmené entre 100 000 et 200 000 enfants ouïghours dans les provinces chinoises, prétextant qu’il n’y avait pas assez de places pour les garder sur place au Turkestan Oriental. Certains ont deviné qu’ils seront vite assimilés et transformés, vu leur jeune âge, en Chinois modèle. Mais aujourd’hui on constate l’apparition de cadavres de ces petits enfants, dépouillés de leurs organes, au sein de nombreux hôpitaux internes chinois.
Cher ami lecteur,
La question n’est pas d’être ouïghour,
La question n’est pas d’être musulmane
La question est d’ordre HUMANITAIRE et du DROIT A VIVRE LIBRE
Nous ne pouvons pas regarder sans réagir devant l’extermination d’un peuple civilisé.
Le nettoyage ethnique de tous les Ouïghours est en cours actuellement au Turkestan oriental, et NOUS AVONS BESOIN DE VOUS.
A vous tous, hommes et femmes de bonne volonté, qui aimez la justice et la liberté, nous vous supplions de regarder le drame des Ouïghours !
Alerter l’opinion publique internationale pour contrer le génocide et l’extermination réalisée par Pékin !
Tout ceci n’est pas sans rappeler le Génocide commis par le nazi Hitler contre la population juive pendant la Seconde Guerre mondiale.
Il faut prendre ses responsabilités en dénonçant les crimes politiques chinois comme a été dénoncé l’Holocauste !
Montrez votre sympathie et aidez le peuple prisonnier OUÏGHOUR à sortir des camps de concentration, et à reprendre leur droit de vivre libre !
Il FAUT SAUVER LE PEUPLE OUÏGHOUR !!!!
Le temps presse et cela est très urgent !
REJOIGNEZ les MANIFESTATIONS PREVUES aux dates et lieux suivants :
5 Juillet 2018, de 11h à 18h
En face de la chancellerie de l’ambassade de chine
2 Rue Châteaubriant, 75008 Paris
6 juillet 2018, de 11h à 18h
En face de l’Assemblée nationale
8 Place du Palais Bourbon, 75008 Paris
7 Juillet 2018, 13h à 18h
Lieu de départ et lieu de fin :
Rassemblement de la place d’Opéra
Plaquette :