La Turquie construit 22 prises qui pourraient en finir avec l’eau du Tigre. C’est la conclusion à laquelle sont arrivés les écologistes qui critiquent les mesures turques. La rivière, de 1.900 kilomètres de long, perd 33.000 millions de mètres cube de débit par an.
Ce sont les pires nouvelles. Si les prévisions s’accomplissaient, la Turquie, la Syrie et l’Irak se trouveraient interdits de la moitié de ses ressources hydraulique, en plus de provoquer une crise sans précédents et en plus de causer une crise par étendue à d’autres secteurs, puisque 75% réduirait la terre cultivable à l’Irak.
Ce n’est pas la première fois que des nouvelles de ce type ont lieu. Ces années astral, l’Irak a critiqué la mauvaise gestion de la Turquie au sujet du Tigre, qui naît aux montagnes de la Turquie pour aller s’arrêter plus tard au Golfe Persique, où avant de déboucher se rejoint avec l’Euphrate.
Le Tigre est une rivière très punie grâce aux nombreuses prises qui sont construites, puisqu’il faut fournir de l’eau à nombreux régions arides ou semi-désertiques qu’ils bordent à la rivière. De plus, les États-Unis ont détruit des plantes de traitement de l’eau pendant la Guerre du Golfe dans les années quatre-vingt-dix, ce qui a provoqué une descente remarquable dans la qualité de l’eau de la rivière.
(Source : Ecology concepts)