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LA DIASPORA ARMENIENNE : LE PLUS GRAND DANGER DE L’ARMENIE ?

Publié le | par Engin | Nombre de visite 508
LA DIASPORA ARMENIENNE : LE PLUS GRAND DANGER DE L'ARMENIE ?

LA DIASPORA ARMENIENNE : LE PLUS GRAND DANGER DE L’ARMENIE ?

Si Turcs, Arméniens et Azerbaidjanais parviennent à normaliser leurs relations, cette zone géographique tortueuse augure une jolie perspective de prospérité, non seulement pour ce triptyque mais pour tout le Caucase et l’Asie centrale dont la Turquie constitue la porte occidentale.

[*Toutefois, comme dans le passé, il est très probable que la diaspora arménienne, menée par des extrémistes aveuglés par leur vengeance antiturque, fera capoter tout espoir de paix !*]

Les activistes de la diaspora arménienne d’occident -et notamment de France et des USA- n’ont cure de l’avenir de l’Arménie mais sont uniquement obnubilés par leur atavisme antiturc et des revendications insensées.

Au lieu de laisser les historiens travailler librement et dire les faits, depuis le début, ils politisent et instrumentalisent leur interprétation de l’histoire au détriment de la réconciliation et des intérêts de l’Arménie.
Si un dirigeant arménien réussit à libérer son pays du joug revanchard de la diaspora arménienne, l’Arménie pourra bâtir un futur plus radieux avec ses voisins turcs au lieu de réduire son peuple à la seule perspective de la vengeance, de la guerre et de la haine antiturque.

Le gâchis est tellement cruel !

Avec France24

La Turquie et l’Arménie ont discuté d’une normalisation de leurs relations

Des émissaires de la Turquie et de l’Arménie ont pris part, vendredi à Moscou, à un premier cycle de pourparlers destinés à normaliser leurs liens. Une démarche que l’Arménie espère voir aboutir sur l’établissement de relations diplomatiques et la réouverture des frontières après des décennies d’animosité.

À Moscou, vendredi 14 janvier, des émissaires de la Turquie et de l’Arménie ont participé à un premier cycle de pourparlers destinés à normaliser les liens entre les deux pays. Une démarche qui pourrait conduire à l’établissement de relations diplomatiques et à la réouverture des frontières entre les deux pays.

Ankara et Erevan n’ont depuis des décennies aucune relation diplomatique ni commerciale, en dépit d’un accord de paix conclu en 2009, qui n’a jamais été ratifié. Ces discussions constituent une première tentative depuis cette date pour rétablir des liens restés tendus.

Les ministres des Affaires étrangères des deux pays ont déclaré que les discussions à Moscou s’étaient déroulées dans une atmosphère "positive et constructive", et se sont dits prêts à normaliser leurs relations sans préconditions. Les émissaires dépêchés dans la capitale russe ont déclaré avoir "partagé leur approche préliminaire du processus de normalisation".

Le fossé à combler est cependant très profond, avec comme principal point de contentieux le massacre d’environ 1,5 million d’Arméniens sous l’Empire ottoman, considéré par Erevan comme un "génocide", ce que réfute Ankara.

La Turquie admet que de nombreux Arméniens ayant vécu sous l’Empire ottoman ont été tués lors d’affrontements durant la Première Guerre mondiale, mais elle conteste le bilan et refuse toute exécution systématique.

Durant le conflit dans le Haut-Karabakh, fin 2020, Ankara a apporté un soutien militaire décisif à l’Azerbaïdjan et accusé l’Arménie d’occuper son territoire. La Turquie a par la suite prôné un rapprochement avec l’Arménie, alors qu’Ankara cherche à étendre son influence dans la région.

Petits gestes et gros obstacles
Dans des communiqués séparés mais à la formulation similaire publiés à l’issue de la réunion de Moscou, les deux capitales ont indiqué que leurs discussions se poursuivraient à une date et dans un lieu fixés ultérieurement.

Selon l’agence de presse russe TASS, le ministère arménien des Affaires étrangères a indiqué, jeudi, que l’Arménie espérait voir les discussions aboutir à la mise en place de relations diplomatiques et à l’ouverture de frontières fermées depuis 1993.

En 2021, le chef de la diplomatie turque, Mevlüt Cavusoglu, avait déclaré que, dans le cadre de ce rapprochement, les deux pays allaient aussi ouvrir des liaisons aériennes – celles-ci devraient démarrer à partir du mois prochain.

En dépit de la volonté partagée par Washington de voir s’opérer une normalisation des relations entre les deux pays, alors qu’une importante diaspora arménienne est présente aux États-Unis, les experts s’attendent à ce que les discussions se heurtent à des obstacles difficiles à surmonter.

C’est le cas du débat autour de la question du "génocide" de 1915, qui suscite des réactions épidermiques en Turquie, mais aussi des relations entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan, dont le président turc Recep Tayyip Erdogan a estimé jeudi qu’elles étaient indispensables à la normalisation avec la Turquie alors que la défaite militaire de 2020 a provoqué un profond traumatisme à Erevan.


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