La Grèce aux prises avec une sévère récession économique se tourne vers la Turquie pour trouver des solutions et des investissements, des relations qui accélèrent le rapprochement entre les deux pays, longtemps à couteaux tirés.
Sur le papier, tout semble opposer les économies grecques et turques. La première a connu une contraction de 6,9% de son activité en 2011 tandis qu’Ankara a battu tous ses records avec 8,5 % de hausse de son PIB. Quant à l’année 2012, la Banque de Grèce estime à 5% la chute de l’économie nationale alors que le gouvernement turc table sur 4,5% de croissance.
Lire la suite dans La Tribune