Selon une source Reuters, les lignes d’assemblages restent à l’arrêt sur deux sites turcs appartenant aux constructeurs Renault et Fiat dont les employés réclament une amélioration de leurs conditions salariales.
Le mouvement a commencé jeudi dans la plus grande usine automobile turque, gérée par Oyak Renault, une coentreprise fondée par le constructeur français et Oyak, un fonds de pension de l’armée turque, située à Bursa, dans le nord-ouest du pays.
Vendredi, des employés de Tofas, une coentreprise détenue par Fiat et le turc Koc Holding, ont lancé leur propre mouvement.
Un porte-parole d’Oyak Renault a dit que les négociations se poursuivaient avec les salariés.
Source : Reuters