« Qu’attend la France pour s’intéresser vraiment à l’Azerbaïdjan ? », par Thierry Mariani

L’Azerbaïdjan, futur grand d’Europe ? Encore faut-il lui ouvrir la porte. Par Thierry Mariani, député des Français de l’étranger, président du Groupe d’amitié France-Azerbaïdjan à l’Assemblée nationale et ancien Ministre.
Si la visite prochaine à Bakou de Nicole Bricq, Ministre français du Commerce extérieur, constitue assurément une excellente nouvelle, il est permis de se demander si la France prend réellement toute la mesure du rôle économique, stratégique et culturel de l’Azerbaïdjan, à la fois dans sa dimension régionale et sous l’angle de ses relations avec l’Union européenne.
Pour un esprit français, le Caucase évoque spontanément des pays comme l’Arménie ou la Géorgie. L’Azerbaïdjan est, au mieux méconnu, au pire sous-estimé. Même les entreprises françaises ne semblent pas toujours mesurer l’ampleur du bouleversement géopolitique et économique en cours dans les pays du Caucase et le potentiel économique que représente l’Azerbaïdjan. Il y a là un vrai paradoxe dès lors que l’Azerbaïdjan s’affirme résolument comme la locomotive économique de la région, très loin devant ses voisins géorgien et arménien. (...)
L’Azerbaïdjan pourrait limiter la dépendance de l’Europe à la Russie
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Une économie en pleine mutation
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Un patrimoine qu’il faut conserver
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Un pays ouvert sur l’Occident
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Des caractéristiques propices à la création d’un lien fort avec la France
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