"Le vaste empire que nous avions parcouru de Constantinople à Jérusalem et Damas, qui est appelé depuis plus d’une centaine d’années l’"homme malade", dont les jours parmi des héritiers jaloux semblaient comptés, porte en lui une immense et solide vitalité, à travers son peuple sobre, profondément religieux et humble, inconditionnellement dévoué à sa religion et à son souverain. Toutefois, son administration, difficile, laisse à désirer, parce qu’il n’y a pas assez de forces appropriées de disponibles. A l’extérieur, les trésors de l’âme populaire, richesse autrefois si prisée du pays, ne sont ni améliorés, ni conservés par les chrétiens, mais d’une manière non-chrétienne les Grecs et Arméniens, souvent manipulés, n’ont pas hésité à causer de l’embarras à leur propre souverain et à son gouvernement, en instiguant des émeutes et des révoltes."
Les troubles sanglants provoqués par les comités arméniens sous Abdülhamit II
Le millet arménien au XIXe siècle : ascension socio-économique, apogée de l’autonomie structurelle interne et montée du nationalisme
Le règne du "sultan rouge" (sic) Abdülhamit II (Abdul-Hamid II) : une "belle époque" pour les Arméniens ottomans hors d’Anatolie orientale
La place des Arméniens dans l’Etat hamidien
Abdülhamit II (Abdul-Hamid II), un sultan entouré d’Arméniens