Le Japon détiendra au maximum 51% du capital de la deuxième centrale nucléaire turque et partagera cette participation avec la France, a déclaré lundi le ministre turc de l’Energie, Taner Yildiz.
Ankara a attribué la semaine dernière le contrat de construction de la centrale de Sinop, un projet de 17 milliards d’euros, à un consortium réunissant les groupes japonais Mitsubishi Heavy Industries et Itochu et les français Areva et GDF Suez. (voir : )
Le groupe public turc d’électricité EUAS devrait détenir 49% du projet dans un premier temps mais il envisage de réduire cette participation, soit par le biais d’une introduction en Bourse, soit en vendant un bloc, a précisé Taner Yildiz.
Le mode de cession devrait être choisi d’ici septembre ou octobre, a-t-il poursuivi.
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