Avec le nouveau GP des USA et de la Russie et déjà vingt dates prévue en 2011, des circuits vont inévitablement passer à la trappe. Le Grand Prix de Turquie est le premier à être menacé par Bernie Ecclestone.

Bernie Ecclestone avait rassuré les équipes en leur disant qu’il n’y aurait pas plus de vingt dates dans le calendrier de la F1.

Avec vingt Grands Prix la saison prochaine, les nouveaux contrats signés avec Austin et Sochi pour organiser respectivement le Grand Prix des Etats-Unis et de la Russie, en plus d’un projet à Rome, des circuits vont perdre leur Grand Prix.

Le premier circuit à être pointé du doigt par Bernie Ecclestone est celui de la Turquie.

« Peut-être qu’une organisation va décider qu’elle a besoin de repos, étant en difficulté commercialement, » dit Ecclestone.

« Un bon exemple est sans doute la Turquie. »

« Ils ont construit un circuit incroyable et il pourrait même être le meilleur – mais il n’y a pas beaucoup d’enthousiasme de la part du public. Je ne sais pas pourquoi, » ajoute Bernie Ecclestone, qui pourrait citer le prix du billet inadapté à la population locale.

La faible fréquentation du circuit n’enlève rien au fait, selon Bernie Ecclestone, que l’Istanbul Park reste un exemple pour les circuits nouvelle génération.

« Notre problème, c’est que nous essayons de construire des circuits de course qui sont super sûrs. Mais l’un des meilleurs circuits au monde est la Turquie, » dit-il.

Le circuit de Spa-Francorchamps pourrait lui aussi passer à la trappe, car bien qu’il soit l’un des plus appréciés des pilotes et des fans, l’organisation belge est connue pour être en difficulté depuis maintenant de nombreuses années.

« Si le Grand Prix n’était pas soutenu par le gouvernement, il aurait probablement disparu parce qu’ils ne seraient pas en mesure de se le permettre, » ajoute Ecclestone.

Source Stand F1