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Les organisateurs du Grand Prix de Turquie veulent se battre pour conserver leur place au sein du championnat de Formule 1.
Initialement incluse sur le premier calendrier 2012 provisoire, la manche turque a disparu de la version révisée récemment présentée aux équipes. Le retrait de cette course n’est pas réellement une surprise en soi, puisque Bernie Ecclestone, le patron de Formula One Management, souhaitait doubler le tarif annuel. Une offre à priori facile à refuser.
Mais Mumtaz Tahincioglu, le président de la fédération turque de sport automobile, a révélé que des discussions de haut niveau ont lieu pour sauver le GP de Turquie.
Le gouvernement "est prêt à faire ce qu’il faut pour atteindre cet objectif", a-t-il déclaré à l’agence de presse nationale Anadolu. "Nous allons inviter M. Ecclestone en Turquie. Nous voulons mener à bien nos négociations."
Cependant, si le GP de Turquie venait à être réinstauré, le championnat 2012 compterait alors 21 courses, soit une de plus que le maximum acceptable pour les équipes.
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