À la place, des unités de dessalement ont été importées des Émirats arabes unis, bien que l’offre de la RTCN ait été plus économique et immédiatement opérationnelle.

Les responsables chypriotes turcs ont critiqué ce refus, le qualifiant de décision motivée par des considérations politiques, soulignant qu’une coopération aurait pu alléger la pression pesant sur des millions d’habitants et de touristes.

Cet épisode illustre la résistance persistante à toute collaboration pratique entre les deux parties de l’île.