En homme responsable et proche du peuple, qui a « compris l’attachement des Français au modèle républicain », Sarkozy s’est élevé avec force contre le communautarisme. « Je veux être celui qui refusera tout dérive communautariste », a-t-il clamé à la tribune. Une détermination louable… mais complètement décalée de la part de celui qui a toujours pris soin de s’adresser aux communautés et non aux Français dans leur globalité. Deux jours avant Villepinte, en déplacement à Nice, il déclarait : « Les harkis ont le droit à ce respect, à cette reconnaissance, et ont le droit qu’on leur dise qu’à l’époque, les autorités françaises ne se sont pas bien comportées à l’endroit de ceux qu’elles auraient dû protéger. » Et quelques minutes avant son credo contre le communautarisme, Nicolas Sarkozy a spécialement manifesté ses attentions envers les Arméniens (pour lesquels il a concocté, en février dernier, une loi punissant la négation du génocide arménien), les harkis et les iliens des DOM-TOM. Paradoxal."
Source : http://www.marianne2.fr/A-Villepinte-Sarkozy-a-fait-du-Montebourg-et-du-Sarkozy_a216385.html
Voir également : Selon le journaliste géorgien Georges Popkhadze, Sarkozy "a besoin plus que jamais du soutien du lobby arménien"
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