Suite à une annonce de Dogan Yayin, Deutsche Bank aurait acquit 22% de sa filiale de presse écrite, Dogan Gazetecilik, pour 64,4 millions d’euros. Il faut savoir qu’une partie de la filliale télévision du groupe, Dogan Yayin, avait également été achetée par un autre groupe allemand ; Springer. Certains analystes ne cachent pas leurs craintes d’avoir une position dominante "abusive" de Dogan Yayin dans le secteur de l’information en général, et de la presse en particulier, suite à l’acquisition par le groupe Dogan du journal quotidien Vatan.