« Nous ne tenons pas absolument à être médiateur » titre le journal Yeni Şafak qui annonce que l’ordre du jour est une nouvelle fois chauffé avec le sujet d’une nouvelle médiation de la Turquie entre Israël et la Syrie. Selon l’information, la médiation de la Turquie a divisé le cabinet israélien tandis qu’Ankara a émis un message indiquant « ne pas être dans une attitude voulant absolument devenir médiateur ». « Je pense que la meilleure réponse a été donnée par l’opinion publique israélienne » a affirmé le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Burak Özügergin en attirant l’attention sur les déclarations ambiguës qui continuent à être transmises par Israël.
« Soutien de la Belgique pour l’UE » titre Milliyet qui cite les déclarations du Premier ministre belge Yves Leterme ayant effectué hier une visite de travail en Turquie. Selon l’information, le Premier ministre qui demandait un « partenariat privilégié » pour la Turquie au sujet de l’Union européenne, à l’exemple de la France et de l’Allemagne, il a changé son approche à sa première visite à Ankara et à soutenu l’adhésion. « Il faut donner une chance au processus de négociation. Il s’agit donc d’un processus sans fin. Il faut faciliter le processus et encourager les négociations » a indiqué le Premier ministre belge en précisant que son gouvernement soutenait l’adhésion de la Turquie.
Le quotidien Milliyet annonce sous le titre « la signature avec le FMI est très proche », que le sujet d’un « accord avec le FMI », resté depuis des mois dans l’ordre du jour économique, était arrivé à sa fin. Selon l’information, à la suite de la déclaration du vice-Premier ministre Ali Babacan qui annonçait qu’une « entente avait été établie sur le programme de deux années avec le FMI », le Premier ministre Recep Tayyip Erdoğan aurait noté lors de la réunion du Conseil administratif de son parti, que d’importants avancements avaient été enregistrés dans les entretiens avec le FMI. M. Erdoğan aurait indiqué pendant la réunion, que les conditions de la Turquie avaient été acceptées et qu’un accord de deux années sera signé.
« Les banques ont tenu debout pendant la crise, elles ont ouvert leurs portes à 10 mille employés » titre Hürriyet une information qu’il transmet depuis sa rubrique économique et indique que le secteur bancaire qui avait provoqué d’importants coûts au pays en 2001, a été la bouée de sauvetage de l’économie en 2009. Le journal attire l’attention sur le fait que la croissance du secteur se poursuit tandis que les géantes banques du monde s’effondrent. Selon l’information, le secteur qui ne s’attend pas pour 2010, à obtenir les haut profits réalisés en 2009, planifie une concurrence plus forte, l’ouverture des moyens de crédits et prendre « partiellement » dans son ordre du jour les investissements ajournés.
Source : TRT