Le quotidien Milliyet aborde la visite au Bangladesh du Président de la République sous le titre « Gül reçu avec son portrait affiché à l’aéroport ». Le quotidien annonce que le président Abdullah Gül est passé de l’Inde au Bangladesh. D’après l’information, M. Gül a été reçu cérémoniellement par son confrère bangladeshi Mohammed Zillur à l’aéroport de Dakka Zia, où le portrait de M. Gül a attiré l’attention. L’information précise que MM. Gül et Rahman se sont réunis au palais présidentiel pour répondre aux questions des journalistes. M. Gül a relevé que les deux pays possèdent des liens amicaux de longue date et que la Turquie n’a pas oublié l’aide matérielle et morale apportée par le Bangladesh pendant les années de guerre de l’Indépendance de la Turquie.
L’article paru dans le journal Zaman, indique que les détails de la partie du repas tenue jeudi à huit clos et offert par le Premier ministre Recep Tayyip Erdoğan aux ambassadeurs des pays membres de l’Union européenne, commencent à apparaître. Dans cette partie à huit clos c’est d’abord le président en exercice de l’UE, l’ambassadeur de l’Espagne à Ankara qui a pris la parole. L’ambassadeur Joan Clos a réitéré le soutien de son pays au processus de négociations d’adhésion à part entière de la Turquie.
« Le processus critique commence » titre Yeni Şafak et partage les derniers développements portant sur les protocoles turco-arméniens. Selon l’information, l’Arménie a fait un pas critique dans le processus du protocole. M. Sarkissian a présenté vendredi au parlement les protocoles visant la normalisation des relations avec la Turquie, en vue de leur approbation. Yeni Şafak annonce que les républicains d’Erevan défendent que le Parlement arménien ne discutera pas des protocoles tant que la Grande assemblée nationale de Turquie ne les aura pas accepté.
Sous le titre « Pas de travail en Allemagne pour Mehmet », le journal Cumhuriyet annonce qu’une recherche de l’université de Konstanz a déterminé que lors des candidatures d’emploi ou de stage en Allemagne, les noms à consonance turque ont un effet négatif sur les employeurs bien que les qualifications soient égales.
D’après l’information, on constate que les jeunes d’origine turque et cultivés sont le plus affecté par la xénophobie et l’islamophobie croissante en Allemagne. Le quotidien se penche sur une recherche réalisée sur ce sujet. Les jeunes turcs qui sont nés en Allemagne et qui ont suivi le système scolaire allemand, ont un sérieux obstacle « rien qu’avec leur nom » dans l’adaptation à la vie professionnelle, a-t-il été déterminé. La recherche réalisée sous l’administration du professeur docteur Leo Kaas, relève que les jeunes parlant l’allemand sans aucun accent, dont la seule différence de leurs amis allemands est d’avoir des parent d’origine turque et de porter un nom turc, sont exposés à des réponses négatives dans leurs recherches de stage ou d’emploi.