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L’auteur au prix Nobel Orhan Pamuk a vu son dernier roman Le Musée de l’innocence traduit en anglais. Celui ci a été selectionné par la librairie Waterstone comme étant le livre du mois.
On peut voir le roman en vitrine de cette librairie qui se situe dans une des rues les plus commerciales et touristiques de Londres, Oxford street et vendu à 30 livres sterling.
On peut lire sur l’affiche en devanture la phrase suivante : ’du prix Nobel, un roman d’amour obsessionnel dans une Istanbul moderne’.
Outre la présence de Waterstone au royaume Uni, on trouve ses succursales dans divers autres pays comme l’Irlande, Amsterdam ou Bruxelles.
Courant janvier, on s’attend à ce que ce livre soit en vitrine de ces librairies à travers l’Europe.
Pendant ce temps, le journal britannique The Independent a fait une critique du livre d’Orhan Pamuk.
Dans cette critique signée James Urquhart on peut y lire "il existe dans ce roman une rencontre, mais il manque cruellement de vitesse".
Il commence sa critique en évoquant le sujet du roman, et en utilisant l’image suivante : "le lokum turc est passé du sucré à l’amer". En effet il estime que le début du roman à un débit plutôt rapide alors que par la suite il ralentit considérablement.
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