A propos de la loi de censure arménienne, l’adjointe au Maire de Strasbourg, Mme Anne Pernelle Richardot a déclaré qu’il s’agissait d’une "faute politique".

Selon elle, "favoriser le travail de mémoire est une mission que le responsable politique se doit de remplir sans présager de son contenu. Il ne revient pas aux hommes (ou aux femmes) politiques de définir l’Histoire à l’aide de la Loi. En revanche, il est de notre devoir de permettre à l’ensemble de nos concitoyens de pouvoir s’arrêter, réfléchir et poser un regard sur le passé."