TURQUIE LES PLUS
– Le soutien de l’État : la principale force du dossier turc. Le gouvernement, qui y voit une occasion de battre en brèche les préjugés sur la Turquie, a signé des garanties pour la construction de stades à hauteur de 920 millions d’euros.
– Les stades : avec une telle manne, la Fédération turque propose à l’UEFA 9 nouveaux stades.
– Les retombées à long terme : dans son rapport d’évaluation, l’UEFA insiste sur le rôle de « catalyseur » que pourrait jouer l’Euro 2016 pour le développement de la Turquie.
– Le soutien populaire : il sera certainement au rendez-vous en 2016, avec la passion qu’on connaît aux Turcs pour le football.
LES MOINS
– Les transports : si les aéroports d’Istanbul et de la station balnéaire d’Antalya (sud) disposent de la capacité requise pour accueillir les supporteurs, ceux des autres villes hôtes de la compétition sont soit surchargés, soit trop petits. Pour le transport terrestre, la viabilité du projet dépendra de la mise en oeuvre des programmes de construction d’autoroutes et de lignes de chemin de fer annoncée.
– Les capacités d’accueil : certaines villes anatoliennes, manquent cruellement d’hôtels de classe internationale.
– La sécurité : les villes turques jouissent d’un faible taux de criminalité et les autorités turques ont déjà démontré lors d’événements majeurs leur capacité à déployer un imposant dispositif sécuritaire.
Source La voix des sports