Les deux groupes français se retrouvent en finale pour entrer au capital de TAV Holdings, le groupe aéroportuaire turc valorisé à 1,3 milliards d’euros. Doté d’un très riche portefeuille, l’aéroport d’Istanbul constitue une véritable pépite.
Vinci, Aéroports de Paris (ADP). Les deux groupes se détestent depuis 2008 quand le premier a fait irruption dans le capital du second en raflant 3 % des actions dans le but de se trouver en première ligne le jour où l’Etat privatisera le gestionnaire des aéroports parisiens. Une tactique qui avait payé pour les autoroutes ASF. Mais là, il n’en fut rien : l’Etat a certes réduit sa participation, mais reste majoritaire à 50,2 %. Mais Vinci ne s’est pas retiré et reste toujours à l’affût d’un éventuel désengagement de l’Etat pour cause de besoin de liquidités.
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