L’élection en novembre 2008 de Barack Obama à la présidence américaine a, sans aucun doute, annoncé un changement touchant en profondeur les États-Unis et leur image dans le monde aussi bien avec leurs alliés qu’avec leurs ennemis. Le défi majeur de l’actuelle administration est de gérer ce que Barthélemy Courmont (1) appelle immobilismes et changements.
Un des premiers défis sera d’abord de changer la forme : c’est-à-dire en écoutant davantage ses partenaires et en favorisant la (…)
La xénophobie et la turcophobie d’extrême droite : partie émergée de l’iceberg turcophobe.
L’attentat terroriste du 15 mars 2019 visant les musulmans de Nouvelle-Zélande a fait près de 50 morts. Le terroriste, Brenton Tarrant, un Australien âgé de 28 ans, filmant en direct son massacre, a attaqué avec des armes lourdes deux mosquées dans la ville de Christchurch.
Le calme surprenant du terroriste est à remarquer, cela montre qu’il s’est conditionné ou a été conditionné avant de passer à (…)
Il faut toujours aller de l’avant. Elle a été agent de liaison dans la Résistance ; directrice de la rédaction de Elle ; fondatrice et directrice, avec son amant, Jean-Jacques Servan-Schreiber, de L’Express ; secrétaire d’Etat à la Condition féminine ; secrétaire d’Etat à la Culture ; éditorialiste au Nouvel Observateur. Et chacun de ses livres a été un succès.
La talentueuse Françoise Giroud, née en 1916 de parents turcs*, incarne une vie de réussites. Mais ce que raconte la biographe (…)
Une enquête menée en Arménie montre que seuls 3% des Arméniens sont favorables à la réconciliation avec les Turcs mais que 46% veulent l’ouverture de la frontière commune. EREVAN - Une enquête réalisée en Arménie a permis de mettre en évidence le regard du peuple arménien sur la Turquie. Les résultats de l’enquête ont conclu que 46% des Arméniens voulaient l’ouverture de la frontière avec le voisin turc mais que seuls 3% étaient « pour la réconciliation avec la Turquie ».
Un site (…)
... le pays compte désormais 29.000 millionnaires turcs, soit une augmentation de 6000 personnes par rapport à l’année précédente.
A la veille du très républicain 29 octobre, le budget réservé aux représentations de la Turquie à l’étranger pour les célébrations de la fête de la République a été diminué dans le but de « faire des économies ». En 2011 et en 2014, les célébrations avaient été carrément annulées. Chaque année, on s’attend à un nouveau motif pour soit décommander, soit limiter une fête dédiée à Atatürk ou à la République : le 19 mai, le 23 avril, le 30 août et le 29 octobre. Alors que certains (…)