Des centaines de manifestants sont descendus dimanche dans les rues de Turquie pour dénoncer la répression iranienne des manifestations dirigées par des femmes, déclenchée par la mort d’une jeune femme après son arrestation par la célèbre police des mœurs du pays.
À Istanbul, de nombreux Iraniens faisaient partie des centaines de personnes qui scandaient des slogans contre le régime de Téhéran et en faveur des femmes iraniennes.
Des femmes tenaient des roses rouges, des drapeaux (...)
La ville de SHUSHA est libérée
Le Président de la République d’Azerbaïdjan, Ilham Aliyev, vient d’annoncer la libération de la ville de Shusha après presque 30 ans d’occupation militaire arménienne.
#Şuşa #Azerbaycan
"Quiconque fera du tort à un Chrétien ou à un Juif me trouvera en accusateur au jour du jugement." (Le Coran) [Citation figurant sur la couverture du livre de Dixon Johnson]
La première Guerre Mondiale fut une succession de conflits armés entre les principales puissances mondiales entre 1914 et 1918, au cours de laquelle l’Entente de la Grande-Bretagne, de la France et de la Russie Tsariste, à laquelle se joignirent plus tard les Etats-Unis d’Amérique, combattit contre l’Allemagne, (...)
La Plate-forme pour une justice indépendante en Turquie a exhorté les institutions européennes à demander à la Turquie de fournir des garanties et des normes pour l’indépendance de jure et de facto de ses juges et procureurs.
Quatre organisations de juges et de procureurs qui forment la plate-forme ont exprimé leur solidarité envers les juges et procureurs turcs dans une lettre adressée lundi au Conseil de l’Europe et à la Commission européenne, affirmant que les membres du pouvoir (...)
Si la Turquie a vivement empêché les opposants russes de rendre hommage à Alexei Navalny, d’autres pays refuges leur permettent de s’exprimer, comme les pays baltes et l’Angleterre. Nos correspondants sur place racontent.
Source : Radio France
À l’image de Ioulia Navalnaïa, la veuve d’Alexei Navalny, l’opposition à Vladimir Poutine veut se poursuivre à l’étranger. Même si ce n’est pas sans danger, c’est le seul moyen d’échapper à la répression systématique du Kremlin. En Turquie, qui (...)
Le parlement turc a adopté jeudi une loi proposée par le parti du président Tayyip Erdogan qui emprisonnerait les journalistes et les utilisateurs des médias sociaux jusqu’à trois ans pour diffusion de "désinformation", malgré les profondes inquiétudes suscitées par la liberté d’expression.
La loi, qui doit encore être approuvée par le président, obligerait également les sociétés de médias sociaux à transmettre des détails sur toute personne qui diffuse de fausses informations et à (...)