« Jamais le meurtre ne sera à mes yeux un objet d’admiration et un argument de liberté ; je ne connais rien de plus servile, de plus méprisable, de plus lâche, de plus borné qu’un terroriste. »
François-René de Chateaudriand, Mémoires d’outre-tombe. Il y a trente-huit ans, était perpétré le crime inaugural marquant le retour du terrorisme arménien, à la fin du XXe siècle : l’assassinat, par Gourgen Yanikian, de Mehmet Baydar, consul général de Turquie à Los Angeles, et de son adjoint Bahadır Demir.
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