Les turcs perdent rapidement de l’intérêt pour les nouveaux mouvements politiques que les anciens membres dirigeants du Parti au pouvoir pour la justice et le développement (AKP) mettent en place, a écrit jeudi le chroniqueur Hürriyet Abdulkadir Selvi.
L’ancien Premier ministre Ahmet Davutoğlu et l’ancien vice-Premier ministre Ali Babacan ont fait sensation l’année dernière lorsqu’ils ont quitté l’AKP et ont promis de créer deux partis distincts qui, selon certains observateurs, pourraient tirer parti de (...)