Turquie News traduit pour ses lecteurs un article qui nous vient directe de partie Grecque de l’ile Chypre qui nous annonce la formation d’une association de malfaiteurs à Nicosie entre les chypriotes grecs et les terroristes du YPG (une branche de l’organisation terroriste PKK) pour « contrer la Turquie ».
La Grèce et entité grecque de l’ile Chypre navigue dans les eaux troubles, ils n’ont clairement pas des idées amicales concernant leur voisine la Turquie.
La situation nous rappel un proverbe turc « bok boku kenefte bulurmus » (la merde rencontre la merde dans les chiottes)
Traduction de l’article
Source : philenews
Avec les célèbres Eleni Theocharous, George Perdiki, Kostis Efstathiou et Christos Iakovou dans le panel, il a été annoncé mercredi 12 janvier la création de l’Association de solidarité chypriote-kurde à Nicosie.
Accompagnés du représentant du PYD kurde une branche armée du PKK à Chypre, Yassin Tarbous, et du militant kurde Cerkez Korkmaz, les participants à la conférence de presse inaugurale ont clairement indiqué que l’amitié chypriote-kurde transcende les gouvernements, les différences politiques, l’histoire interpartis et inter-partis. histoire du parti.
Il est signé par l’histoire, non parce que nos peuples ont des traditions, une langue ou une identité communes, mais parce que le destin n’était pas commun dans ces mers sauvages de la Méditerranée orientale et du Moyen-Orient, dans les flammes de la bête appelée Turquie. Chypre et le Kurdistan, ou plutôt l’hellénisme et le Kurdistan, ont un grand rôle à jouer dans les développements historiques de la région et à être - avec d’autres peuples - le contrepoids au panturquisme et au néo-ottomanisme prônés par les partis politiques turcs, menés par bien sûr Tayyip Erdogan. Ils ont un grand rôle à jouer, non pas en tant qu’imitations des États occidentaux, mais en tant que forces démocratiques de l’Orient imbibé de sang, dont les problèmes ne sont pas résolus par un nouvel apartheid, de nouvelles divisions, de nouveaux génocides.
Lors de la conférence de presse, le nom de "Theofilos Georgiadis" a donc été entendu à quelques reprises. Non pas comme une sorte de mémorial, mais parce que sa forme inspire le peuple kurde en constante lutte et aurait dû inspirer également l’hellénisme chypriote. Cerkez Korkmaz, s’exprimant lors d’une conférence de presse, a expliqué que les combats de Theofilos, menés par des agents turcs le 20 mars 1994, sont bien ancrés dans la conscience kurde. S’exprimant au nom du Centre culturel "Theofilos Georgiadis", il a souligné que lorsque le grand Kurdistan sera fondé, le nom de Theofilos sera donné aux écoles, aux universités et aux établissements d’enseignement - quel choc.
La résurgence de la solidarité kurde chypriote, nettement plus intense dans les années 1980 et 1990, est en elle-même émouvante, mais aujourd’hui, dans le contexte tumultueux imposé par le turc, la solidarité doit s’institutionnaliser et atteindre des niveaux supérieurs, et l’épuration ethnique qui La Turquie garantit pour nos peuples. La solidarité doit être claire, soit en appelant à la libération du leader kurde Abdullah Öcalan, soit en utilisant des noms à la mémoire des Kurdes et des terroriste kurdes, soit avec l’aide des Kurdes en Turquie. Que ce soit donc l’Association de Solidarité Chypriote-Kurde, force motrice pour faire fonctionner l’engrenage de la révolution, qui évolue rapidement aux quatre points de l’horizon kurde et doit atteindre notre place.